C’est en 2008 que Bentley s’était donné le mandat ambitieux de concevoir, parallèlement à sa Continental GT de 567 chevaux, une deuxième version qui serait 40% plus efficace d’un point de vue énergétique. Le résultat est la Continental GT V8 2013, concurrente des Aston Martin DB9, Porsche 911 Turbo S, Mercedes-Benz SLS AMG et Audi R8 5.2.
La marque britannique a atteint son objectif environnemental : le coupé ne rejette que 26 g/km de CO2 dans l’atmosphère. Au niveau de la consommation de carburant, on annonce des cotes de 15,4/7,7 L/100 km ville/autoroute, selon les procédures de calcul européennes.
On peut imputer cet accomplissement à un tout nouveau moteur. De douze cylindres, on est passé à huit. À noter aussi que l’alternateur – conçu pour se charger principalement lors de décélérations – contribue à rendre la GT V8 plus « verte ». Décélérations qui, pour le reste, s’opèrent au moyen de disques de frein de 405 mm à l’avant et de 335 mm à l’arrière – avec une option céramique, faite pour résister aux plus violents freinages.
Sans compter que, grâce à son système permettant de rouler avec quatre cylindres seulement, la Continental GT V8 peut parcourir 850 km entre chaque plein. La même Bentley utilise une transmission intégrale et une boîte automatique à huit rapports avec mode manuel et sélecteurs au volant.
Mais question de ne pas payer en perte de puissance ce qu’on a gagné en efficacité, on a augmenté le rendement des deux turbocompresseurs. Le V8 de 4.0 L atteint donc tout de même ses 500 chevaux et 487 lb-pi de couple. Résultat : vitesse de pointe de 303 km/h, et 0-100 km/h en moins de 5 secondes.
La sonorité distincte à l’architecture du V8 est d’autant amplifiée par un échappement à deux modes, assurant un calme reposant en vitesse de croisière et un rugissement déchirant lorsqu’on monte dans les tours. Il suffit d’appuyer sur le bouton démarreur pour réveiller le moteur.
La Bentley Continental GT V8 2013 se distingue par des jantes de 20 pouces, et de 21 pouces offertes en option. À l’intérieur, les garnitures typiques de Bentley – bois et cuir – qui ornent l’habitacle ne sont pas sans rappeler la tradition de la marque.
L’ambiance à bord est également agrémentée par le système audio à 8 haut-parleurs, servi par 15 giga-octets de stockage pour la musique et compatible avec iPod, fichiers MP3 et carte SD. Au centre de la console, on retrouve aussi un écran tactile de navigation, dont la connectivité Bluetooth et la compatibilité avec carte SIM permettent de gérer n’importe quel carnet d’adresses.
La carrosserie quant à elle fait appel à un procédé de fabrication propre à Bentley – qu’elle appelle « super-formation ». L’aluminium utilisé pour les ailes est d’abord chauffé à 5 000 degrés Celsius, puis moulé par pression d’air. Pour la couleur, même si on a un choix de plus de 100 coloris, Bentley offre d’assortir sur mesure votre voiture à n’importe quelle teinte.
On s’attend à ce que son prix soit légèrement moins élevé que celui de la Continental GT W12, c’est-à-dire avoisinant les 225 000 $.
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La marque britannique a atteint son objectif environnemental : le coupé ne rejette que 26 g/km de CO2 dans l’atmosphère. Au niveau de la consommation de carburant, on annonce des cotes de 15,4/7,7 L/100 km ville/autoroute, selon les procédures de calcul européennes.
On peut imputer cet accomplissement à un tout nouveau moteur. De douze cylindres, on est passé à huit. À noter aussi que l’alternateur – conçu pour se charger principalement lors de décélérations – contribue à rendre la GT V8 plus « verte ». Décélérations qui, pour le reste, s’opèrent au moyen de disques de frein de 405 mm à l’avant et de 335 mm à l’arrière – avec une option céramique, faite pour résister aux plus violents freinages.
Sans compter que, grâce à son système permettant de rouler avec quatre cylindres seulement, la Continental GT V8 peut parcourir 850 km entre chaque plein. La même Bentley utilise une transmission intégrale et une boîte automatique à huit rapports avec mode manuel et sélecteurs au volant.
Mais question de ne pas payer en perte de puissance ce qu’on a gagné en efficacité, on a augmenté le rendement des deux turbocompresseurs. Le V8 de 4.0 L atteint donc tout de même ses 500 chevaux et 487 lb-pi de couple. Résultat : vitesse de pointe de 303 km/h, et 0-100 km/h en moins de 5 secondes.
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| Le V8 de 4.0 L atteint tout de même ses 500 chevaux et 487 lb-pi de couple. (Photo: Bentley) |
La sonorité distincte à l’architecture du V8 est d’autant amplifiée par un échappement à deux modes, assurant un calme reposant en vitesse de croisière et un rugissement déchirant lorsqu’on monte dans les tours. Il suffit d’appuyer sur le bouton démarreur pour réveiller le moteur.
La Bentley Continental GT V8 2013 se distingue par des jantes de 20 pouces, et de 21 pouces offertes en option. À l’intérieur, les garnitures typiques de Bentley – bois et cuir – qui ornent l’habitacle ne sont pas sans rappeler la tradition de la marque.
L’ambiance à bord est également agrémentée par le système audio à 8 haut-parleurs, servi par 15 giga-octets de stockage pour la musique et compatible avec iPod, fichiers MP3 et carte SD. Au centre de la console, on retrouve aussi un écran tactile de navigation, dont la connectivité Bluetooth et la compatibilité avec carte SIM permettent de gérer n’importe quel carnet d’adresses.
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| À l’intérieur, les garnitures typiques de Bentley – bois et cuir – qui ornent l’habitacle ne sont pas sans rappeler la tradition de la marque. (Photo: Bentley) |
La carrosserie quant à elle fait appel à un procédé de fabrication propre à Bentley – qu’elle appelle « super-formation ». L’aluminium utilisé pour les ailes est d’abord chauffé à 5 000 degrés Celsius, puis moulé par pression d’air. Pour la couleur, même si on a un choix de plus de 100 coloris, Bentley offre d’assortir sur mesure votre voiture à n’importe quelle teinte.
On s’attend à ce que son prix soit légèrement moins élevé que celui de la Continental GT W12, c’est-à-dire avoisinant les 225 000 $.
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