BMW a sa Série 5 Gran Turismo, Porsche sa Panamera et Acura sa ZDX. Voilà qu’Audi succombe à l’engouement pour les cinq-portes dites « sportback » avec l’A7 2012, qui remporte la palme en matière de style… du moins, à mon avis.
Sophistiquée et raffinée
Malgré sa taille imposante, on a conçu l’A7 pour accueillir quatre personnes, et seulement quatre personnes. Les chanceux qui prendront place dans la dernière-née d’Audi seront généreusement récompensés. Ils auront droit à un habitacle spacieux, même, pour la plupart, à l’arrière, et exceptionnellement bien nanti tant du côté de la technologie que du raffinement.
Au démarrage, l’écran de l’interface multimédia (MMI) jaillit de sa fente. Audi a continué à peaufiner son système, devenu, je crois, fort supérieur à ceux de la concurrence. Il nécessite toujours un temps d’adaptation, mais au fil des ans on a simplifié et minimisé la multitude d’étapes et d’options.
Par exemple, à l’aide d’un doigt et l’unique tablette tactile d’Audi on peut inscrire notre destination dans le système de navigation. Je préférais toutefois utiliser la reconnaissance vocale, qui permet d’enregistrer sa destination de façon simple et conviviale.
Une fois mes destinations reconnues, le système fournit des directives sonores, reproduites visuellement sur l’affichage tête haute de l’A7. Parmi les autres gadgets de mon modèle d’essai, notons l’assistance à la vision nocturne et le régulateur de vitesse automatique actif.
De superbes touches esthétiques et un assemblage absolument impeccable viennent compléter la pléthore de dispositifs à la fine pointe. Chaque élément et fonction de l’habitacle dégage une impression de qualité et d’utilité.
Des qualités qu’on peut attribuer à l’opération du véhicule aussi.
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| L’A7 livre des performances enivrantes qui savent nous dorloter par instants et nous inspirer par d’autres. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Sophistiquée et raffinée
Malgré sa taille imposante, on a conçu l’A7 pour accueillir quatre personnes, et seulement quatre personnes. Les chanceux qui prendront place dans la dernière-née d’Audi seront généreusement récompensés. Ils auront droit à un habitacle spacieux, même, pour la plupart, à l’arrière, et exceptionnellement bien nanti tant du côté de la technologie que du raffinement.
Au démarrage, l’écran de l’interface multimédia (MMI) jaillit de sa fente. Audi a continué à peaufiner son système, devenu, je crois, fort supérieur à ceux de la concurrence. Il nécessite toujours un temps d’adaptation, mais au fil des ans on a simplifié et minimisé la multitude d’étapes et d’options.
Par exemple, à l’aide d’un doigt et l’unique tablette tactile d’Audi on peut inscrire notre destination dans le système de navigation. Je préférais toutefois utiliser la reconnaissance vocale, qui permet d’enregistrer sa destination de façon simple et conviviale.
Une fois mes destinations reconnues, le système fournit des directives sonores, reproduites visuellement sur l’affichage tête haute de l’A7. Parmi les autres gadgets de mon modèle d’essai, notons l’assistance à la vision nocturne et le régulateur de vitesse automatique actif.
De superbes touches esthétiques et un assemblage absolument impeccable viennent compléter la pléthore de dispositifs à la fine pointe. Chaque élément et fonction de l’habitacle dégage une impression de qualité et d’utilité.
Des qualités qu’on peut attribuer à l’opération du véhicule aussi.
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| Chaque élément et fonction de l’habitacle dégage une impression de qualité et d’utilité. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |