À mon arrivée au Canada, l'une des premières voitures que j'ai conduites a été une Cadillac.
Il s'agissait d'une Eldorado Biarritz décapotable au toit blanc et à l'intérieur blanc. Non, je n'étais pas le chauffeur privé de Boss Hog (le richissime vilain dans Chérif, fais-moi peur); la voiture appartenait plutôt à l'un de mes amis.
Quand je dis «un de mes amis», je veux parler d'un homme qui était propriétaire d'un pub anglais dans le petit village manitobain où je résidais. Nous étions deux grands amateurs de bière et il arrivait parfois qu'il me demande de le reconduire à la maison. (Le reste du temps, il me laissait boire gratuitement, ce qui, pour un jeune homme comme moi à l'époque, était le deal du siècle!)
J'avais 19-20 ans et il était dans la soixantaine. Dans ce temps-là, il fallait être rendu à sa retraite pour avoir les moyens de se payer une Cadillac -- du moins, c'est l'impression que j'avais.
Depuis, les temps ont bien changé. Nous avons des frigos électroniques, des opérations cardiaques d'un jour et une pilule qui combat les problèmes érectiles! Mais pour les gens de ma génération, l'une des plus grosses surprises à l'heure actuelle s'avère l'âge moyen des conducteurs de Cadillac.
La compagnie jadis célèbre pour ses gigantesques et ultra luxueuses voitures américaines est aujourd'hui devenue l'une des marques les plus en vogue sur la planète. Sa gamme actuelle a très peu de points en commun avec les modèles classiques de ce que j'appelle «la vieille école Cadillac»; en fait, quelques-uns de ses véhicules semblent venir tout droit du futur!
La toute nouvelle CTS 2008 en est certainement le meilleur exemple. À son lancement original, en 2002, cette voiture s'était nettement distancée de l'héritage de Cadillac en proposant une silhouette unique et très saillante. Je suis persuadé que plusieurs consommateurs ont écarquillé les yeux en la voyant pour la première fois.
Il s'agissait d'une Eldorado Biarritz décapotable au toit blanc et à l'intérieur blanc. Non, je n'étais pas le chauffeur privé de Boss Hog (le richissime vilain dans Chérif, fais-moi peur); la voiture appartenait plutôt à l'un de mes amis.
 |
| Cette nouvelle génération de la CTS est beaucoup plus dynamique que les Cadillac d'autrefois. |
Quand je dis «un de mes amis», je veux parler d'un homme qui était propriétaire d'un pub anglais dans le petit village manitobain où je résidais. Nous étions deux grands amateurs de bière et il arrivait parfois qu'il me demande de le reconduire à la maison. (Le reste du temps, il me laissait boire gratuitement, ce qui, pour un jeune homme comme moi à l'époque, était le deal du siècle!)
J'avais 19-20 ans et il était dans la soixantaine. Dans ce temps-là, il fallait être rendu à sa retraite pour avoir les moyens de se payer une Cadillac -- du moins, c'est l'impression que j'avais.
Depuis, les temps ont bien changé. Nous avons des frigos électroniques, des opérations cardiaques d'un jour et une pilule qui combat les problèmes érectiles! Mais pour les gens de ma génération, l'une des plus grosses surprises à l'heure actuelle s'avère l'âge moyen des conducteurs de Cadillac.
La compagnie jadis célèbre pour ses gigantesques et ultra luxueuses voitures américaines est aujourd'hui devenue l'une des marques les plus en vogue sur la planète. Sa gamme actuelle a très peu de points en commun avec les modèles classiques de ce que j'appelle «la vieille école Cadillac»; en fait, quelques-uns de ses véhicules semblent venir tout droit du futur!
La toute nouvelle CTS 2008 en est certainement le meilleur exemple. À son lancement original, en 2002, cette voiture s'était nettement distancée de l'héritage de Cadillac en proposant une silhouette unique et très saillante. Je suis persuadé que plusieurs consommateurs ont écarquillé les yeux en la voyant pour la première fois.
 |
| On voit de plus en plus de jeunes conduire des Cadillac. |