Le prix du carburant qui va et vient comme un yo-yo donne une justification en or à ceux qui considèrent l'achat d'une petite voiture que je surnomme « économini ». Or, depuis 2004, c'est la Toyota Yaris qui domine ce créneau dans une large mesure suivie de loin par la Hyundai Accent et la Nissan Versa.
En 2001, ce créneau ne comptait que quatre modèles. Depuis, les modèles se multiplient, et les ventes ont doublé. Et ce n'est pas fini. On attend l'arrivée prochaine d'autres économinis, dont la Ford Fiesta.
Avec ce bouleversement dans ma mire, j'ai conduit la Yaris Hatchback LE, le modèle de base des versions à hayon. Le modèle RS, un cran au-dessus, s'en distingue essentiellement par un équipement plus cossu et, surtout, un prix de départ plus élevé de 4500 $.
La gamme Yaris compte également une berline tricorps, qui plaît à une clientèle habituellement plus conservatrice. Il s'agit d'une voiture plus longue de 48 centimètres dont l'habitacle est moins polyvalent cependant. Et puis, elle n'a pas la bouille de la Yaris Hatchback...
Plus polyvalente qu'une berline Yaris
C'est vrai. Une Yaris à hayon, ça ne s'achète pas; ça se désire ! Son allure coquine et son côté pratique la rendent plus attrayante qu'une berline aux allure anonymes, tarée par un coffre dont l'ouverture est courte et étriquée.
Avec cette cinq-portes, en un rien de temps, les dossiers asymétriques du siège arrière se replient pour permettre le chargement de colis volumineux, comme un téléviseur. Avec la berline, on n'y penserait même pas !
En rabattant les dossiers, on triple le volume utile : il passe de 228 à 728 litres. D'accord, le volume utile maximal d'une Honda Fit (1622 litres) est deux fois plus important. Même celui d'une Chevrolet Aveo5 (1190 litres) est supérieur. Mais, s'il faut choisir entre une Hatchback et la berline (et son coffre de 365 litres), le choix est clair !
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| On ne fait pas qu'acheter une Toyota Yaris, on la choisit parce qu'on la désire ! Sa popularité est, en partie, due à un engouement qui ressemble à un culte. |
En 2001, ce créneau ne comptait que quatre modèles. Depuis, les modèles se multiplient, et les ventes ont doublé. Et ce n'est pas fini. On attend l'arrivée prochaine d'autres économinis, dont la Ford Fiesta.
Avec ce bouleversement dans ma mire, j'ai conduit la Yaris Hatchback LE, le modèle de base des versions à hayon. Le modèle RS, un cran au-dessus, s'en distingue essentiellement par un équipement plus cossu et, surtout, un prix de départ plus élevé de 4500 $.
La gamme Yaris compte également une berline tricorps, qui plaît à une clientèle habituellement plus conservatrice. Il s'agit d'une voiture plus longue de 48 centimètres dont l'habitacle est moins polyvalent cependant. Et puis, elle n'a pas la bouille de la Yaris Hatchback...
Plus polyvalente qu'une berline Yaris
C'est vrai. Une Yaris à hayon, ça ne s'achète pas; ça se désire ! Son allure coquine et son côté pratique la rendent plus attrayante qu'une berline aux allure anonymes, tarée par un coffre dont l'ouverture est courte et étriquée.
Avec cette cinq-portes, en un rien de temps, les dossiers asymétriques du siège arrière se replient pour permettre le chargement de colis volumineux, comme un téléviseur. Avec la berline, on n'y penserait même pas !
En rabattant les dossiers, on triple le volume utile : il passe de 228 à 728 litres. D'accord, le volume utile maximal d'une Honda Fit (1622 litres) est deux fois plus important. Même celui d'une Chevrolet Aveo5 (1190 litres) est supérieur. Mais, s'il faut choisir entre une Hatchback et la berline (et son coffre de 365 litres), le choix est clair !
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| Le coffre transformable de la Yaris est très accessible et procure un volume utile qui, s'il n'est pas le plus important, demeure très appréciable. |