Moins de cylindrée et de carburant; plus de fougue!
Le temps d’accélération n’est pas la seule mesure qui a diminué avec l’ajout de ce moteur dans la TT 2011. De nos jours, tous les manufacturiers recherchent l’efficacité. Ainsi, quand on le compare au moteur TSI de 2,0 litres, le TFSI d’Audi émet considérablement moins de CO2 (154 g/km) et consomme 14 % moins de carburant (6,6 L/100 km sur l’autoroute). Le système de refroidissement amélioré bonifie lui aussi la performance de la voiture.
La bête sous le capot reflète joliment les 30 années d’expérience d’Audi en matière de turbocompression. Ici, le fameux décalage du turbo n’existe plus; la réponse de l’accélérateur s’avère immédiate et la totalité du couple se déchaîne à seulement 1600 tours/minute avant de culminer à 4200 tours/minute. À peine 100 tours plus tard, l’entière cavalerie se déploie. Globalement, la livraison de la puissance se révèle des plus fluides et linéaires. Quel bonheur!
Pour vous donner une idée concrète, l’Audi TT TFSI 2011 à traction avant avec boîte manuelle à six rapports complète le 0-100 en 6,1 secondes. Au Canada, seule la version quattro (traction intégrale) sera offerte, comme il se doit. Dans ce cas-ci, un pilote chevronné pourra franchir les 100 km/h en 6,5 secondes.
Brillant design
Lors de son passage à la deuxième génération, la TT a adopté une silhouette plus musclée et sculptée. Coïncidant avec le nouveau moteur sous le capot, les lignes du modèle 2011 ont été affutées une fois de plus. À l’avant, les changements ne sont pas discernables au premier coup d’œil. En scrutant plus attentivement, on remarque toutefois que les feux à DEL ont été remaniés, tout comme la calandre à simple cadre. En outre, de légères touches de chrome ont été ajoutées et de nouveaux designs de jantes sont proposés. À l’arrière, le diffuseur accapare une plus grande partie du pare-chocs et les feux gagnent de la profondeur.
Quatre nouvelles couleurs extérieures et intérieures s’ajoutent à la palette. L’habitacle n’a pas vraiment reçu de soins; il faut dire qu’il n’en avait pas besoin (l’extérieur non plus, à bien y penser). Les sièges avant dorlotent toujours autant leurs occupants et la position de conduite demeure aussi naturelle et confortable que votre vieux pyjama… mais avec des bottes et des gants de course. Le volant à base carrée me donne encore des frissons. Que voulez-vous? Je suis facile à exciter!
Le temps d’accélération n’est pas la seule mesure qui a diminué avec l’ajout de ce moteur dans la TT 2011. De nos jours, tous les manufacturiers recherchent l’efficacité. Ainsi, quand on le compare au moteur TSI de 2,0 litres, le TFSI d’Audi émet considérablement moins de CO2 (154 g/km) et consomme 14 % moins de carburant (6,6 L/100 km sur l’autoroute). Le système de refroidissement amélioré bonifie lui aussi la performance de la voiture.
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| Le TFSI d’Audi émet considérablement moins de CO2 et consomme 14 % moins de carburant. (Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com) |
La bête sous le capot reflète joliment les 30 années d’expérience d’Audi en matière de turbocompression. Ici, le fameux décalage du turbo n’existe plus; la réponse de l’accélérateur s’avère immédiate et la totalité du couple se déchaîne à seulement 1600 tours/minute avant de culminer à 4200 tours/minute. À peine 100 tours plus tard, l’entière cavalerie se déploie. Globalement, la livraison de la puissance se révèle des plus fluides et linéaires. Quel bonheur!
Pour vous donner une idée concrète, l’Audi TT TFSI 2011 à traction avant avec boîte manuelle à six rapports complète le 0-100 en 6,1 secondes. Au Canada, seule la version quattro (traction intégrale) sera offerte, comme il se doit. Dans ce cas-ci, un pilote chevronné pourra franchir les 100 km/h en 6,5 secondes.
Brillant design
Lors de son passage à la deuxième génération, la TT a adopté une silhouette plus musclée et sculptée. Coïncidant avec le nouveau moteur sous le capot, les lignes du modèle 2011 ont été affutées une fois de plus. À l’avant, les changements ne sont pas discernables au premier coup d’œil. En scrutant plus attentivement, on remarque toutefois que les feux à DEL ont été remaniés, tout comme la calandre à simple cadre. En outre, de légères touches de chrome ont été ajoutées et de nouveaux designs de jantes sont proposés. À l’arrière, le diffuseur accapare une plus grande partie du pare-chocs et les feux gagnent de la profondeur.
Quatre nouvelles couleurs extérieures et intérieures s’ajoutent à la palette. L’habitacle n’a pas vraiment reçu de soins; il faut dire qu’il n’en avait pas besoin (l’extérieur non plus, à bien y penser). Les sièges avant dorlotent toujours autant leurs occupants et la position de conduite demeure aussi naturelle et confortable que votre vieux pyjama… mais avec des bottes et des gants de course. Le volant à base carrée me donne encore des frissons. Que voulez-vous? Je suis facile à exciter!
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| L’habitacle n’a pas vraiment reçu de soins; il faut dire qu’il n’en avait pas besoin. (Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com) |