En pleine mélodie, le moteur biturbo de BMW est soit grave et menaçant, soit doux et silencieux, dépendamment du modèle. Avec la Série 5, il demeure étonnamment feutré, même à très haut régime. Avec la 335i Cabriolet, en revanche, le son est pour le moins retentissant.
Le biturbo à six cylindres en ligne de 3,0 litres de BMW est aussi offert avec la nouvelle Série 1, bientôt introduite sur le marché.
V10 de 5,0 litres
Il faut un moteur bien spécial pour propulser une voiture de 4000 livres de 0 à 100 km/h en moins de cinq secondes. C'est exactement ce qu'a concocté BMW lors du développement de la plus récente berline haute performance M5.
Le V8 de 400 chevaux qui alimentait l'ancienne génération a été abandonné au profit d'un nouveau V10 de 5,0 litres. Certes, la cylindrée est la même, mais les deux cylindres additionnels permettent un fonctionnement plus efficace et plus raffiné.
Pour contrôler cette bête, BMW a installé des modules électroniques qui comptent parmi les plus sophistiqués au monde, dont un système de gestion qui améliore la performance tout en réduisant considérablement les émissions. Plus d'un millier de composantes pour optimiser le point d'allumage, le remplissage des cylindres, le niveau d'injection, la position du papillon des gaz de chacun des cylindres ainsi qu'une foule d'autres paramètres tenant compte de chacune des plages de régime.
L'électronique avancée du moteur de la M5 a même permis à BMW d'ajouter un bouton «sport» sur le volant. En conduite normale, disons en ville, le moteur est plus calme et plus docile. Toutefois, dès que l'on appuie sur le bouton, il se réveille et fait galoper la totalité de ses 507 chevaux.
C'est exact: la M5 peut passer de 400 à 507 chevaux en quelques millièmes de seconde. La poussée qui en résulte fusionne littéralement le conducteur et son siège, pendant que le moteur hurle sauvagement jusqu'au-delà de 8000 tr/min. Nul besoin de vous dire que les accélérations sont prodigieuses.
Les ingénieurs ont conçu le système d'échappement de la M5 de façon à maximiser le débit d'écoulement tout en minimisant la contre-pression, ce qui favorise une performance et une efficacité de couple impeccables. De plus, les composantes du système d'échappement se réchauffent très vite, assurant un effet catalytique total peu de temps après un démarrage à froid.
Élu deux fois «Moteur de performance de l'année» à l'échelle internationale, le V10 de 5,0 litres de BMW équipe non seulement la berline M5 mais aussi le coupé M6.
photo:Justin Pritchard
Le biturbo à six cylindres en ligne de 3,0 litres de BMW est aussi offert avec la nouvelle Série 1, bientôt introduite sur le marché.
V10 de 5,0 litres
Il faut un moteur bien spécial pour propulser une voiture de 4000 livres de 0 à 100 km/h en moins de cinq secondes. C'est exactement ce qu'a concocté BMW lors du développement de la plus récente berline haute performance M5.
Le V8 de 400 chevaux qui alimentait l'ancienne génération a été abandonné au profit d'un nouveau V10 de 5,0 litres. Certes, la cylindrée est la même, mais les deux cylindres additionnels permettent un fonctionnement plus efficace et plus raffiné.
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Pour contrôler cette bête, BMW a installé des modules électroniques qui comptent parmi les plus sophistiqués au monde, dont un système de gestion qui améliore la performance tout en réduisant considérablement les émissions. Plus d'un millier de composantes pour optimiser le point d'allumage, le remplissage des cylindres, le niveau d'injection, la position du papillon des gaz de chacun des cylindres ainsi qu'une foule d'autres paramètres tenant compte de chacune des plages de régime.
L'électronique avancée du moteur de la M5 a même permis à BMW d'ajouter un bouton «sport» sur le volant. En conduite normale, disons en ville, le moteur est plus calme et plus docile. Toutefois, dès que l'on appuie sur le bouton, il se réveille et fait galoper la totalité de ses 507 chevaux.
C'est exact: la M5 peut passer de 400 à 507 chevaux en quelques millièmes de seconde. La poussée qui en résulte fusionne littéralement le conducteur et son siège, pendant que le moteur hurle sauvagement jusqu'au-delà de 8000 tr/min. Nul besoin de vous dire que les accélérations sont prodigieuses.
Les ingénieurs ont conçu le système d'échappement de la M5 de façon à maximiser le débit d'écoulement tout en minimisant la contre-pression, ce qui favorise une performance et une efficacité de couple impeccables. De plus, les composantes du système d'échappement se réchauffent très vite, assurant un effet catalytique total peu de temps après un démarrage à froid.
Élu deux fois «Moteur de performance de l'année» à l'échelle internationale, le V10 de 5,0 litres de BMW équipe non seulement la berline M5 mais aussi le coupé M6.
photo:Justin Pritchard