Pire encore, on se sent coincé comme dans un cachot en raison de la ceinture de caisse élevée et des piliers de toit imposants. Comme vous l'aurez deviné, ceci se traduit par une piètre visibilité extérieure, forçant le conducteur à redoubler de prudence sur la route et lors des manœuvres de stationnement.
Mais bon, il y a un prix à payer quand on embarque dans une voiture avec autant de style et de caractère. La Camaro n'est d'ailleurs pas la seule à compromettre le champ de vision du pilote; plusieurs de ses rivales le font aussi. On peut excuser cet irritant – à défaut de l'oublier – quand on ajuste sa conduite en conséquence.
Une fois familiarisé avec le cockpit de cette Chevrolet, j'ai pu apprécier sa performance inspirante et gratifiante, même si le capot bombé ne renfermait pas de V8.
Un moteur de base qui déménage!
Si ma nostalgie des années 1960 me poussait à acheter une Camaro, Mustang ou Challenger 2011, leur V6 ne comblerait pas mes attentes, point à la ligne. Seul le grondement d'un V8 y arriverait. Cela dit, je vous assure que la puissance est au rendez-vous même avec six cylindres seulement.
Dans le cas de la Camaro 1LT, son moteur de 3,6 litres développe 312 chevaux à 6400 tours/minute et un couple de 278 livres-pied à 5200 tours/minute. Il n'y a pas si longtemps, pareil rendement aurait été approprié pour un V8.
On retrouve en accompagnement une boîte manuelle ou automatique à six rapports. J'ai essayé la seconde, doublée d'un mode manuel sans embrayage avec non pas des sélecteurs conventionnels au volant mais plutôt de gros boutons. Ces derniers fonctionnent généralement bien mais, à mon avis, des palettes seraient préférables en termes d'ergonomie.
À la fois docile et agressive
Évidemment, quiconque prend la route au volant de la Camaro sait qu'il a affaire à un bolide de performance. En ville, elle se montre à la fois docile et prête à bondir, son roulement ferme (peut-être trop ferme au goût de certains) et sa direction prompte venant rehausser cette nature.
Mais bon, il y a un prix à payer quand on embarque dans une voiture avec autant de style et de caractère. La Camaro n'est d'ailleurs pas la seule à compromettre le champ de vision du pilote; plusieurs de ses rivales le font aussi. On peut excuser cet irritant – à défaut de l'oublier – quand on ajuste sa conduite en conséquence.
 |
| Dans le cas de la Camaro 1LT, son moteur de 3,6 litres développe 312 chevaux à 6400 tours/minute et un couple de 278 livres-pied à 5200 tours/minute. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Une fois familiarisé avec le cockpit de cette Chevrolet, j'ai pu apprécier sa performance inspirante et gratifiante, même si le capot bombé ne renfermait pas de V8.
Un moteur de base qui déménage!
Si ma nostalgie des années 1960 me poussait à acheter une Camaro, Mustang ou Challenger 2011, leur V6 ne comblerait pas mes attentes, point à la ligne. Seul le grondement d'un V8 y arriverait. Cela dit, je vous assure que la puissance est au rendez-vous même avec six cylindres seulement.
Dans le cas de la Camaro 1LT, son moteur de 3,6 litres développe 312 chevaux à 6400 tours/minute et un couple de 278 livres-pied à 5200 tours/minute. Il n'y a pas si longtemps, pareil rendement aurait été approprié pour un V8.
On retrouve en accompagnement une boîte manuelle ou automatique à six rapports. J'ai essayé la seconde, doublée d'un mode manuel sans embrayage avec non pas des sélecteurs conventionnels au volant mais plutôt de gros boutons. Ces derniers fonctionnent généralement bien mais, à mon avis, des palettes seraient préférables en termes d'ergonomie.
À la fois docile et agressive
Évidemment, quiconque prend la route au volant de la Camaro sait qu'il a affaire à un bolide de performance. En ville, elle se montre à la fois docile et prête à bondir, son roulement ferme (peut-être trop ferme au goût de certains) et sa direction prompte venant rehausser cette nature.
 |
| On retrouve en accompagnement une boîte manuelle ou automatique à six rapports. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |