Poste de pilotage à corriger
Si nous avons aimé la position et la visibilité des cadrans, le volant et le pédalier réglables, les commandes de la ventilation et du chauffage sont trop petites et demandent une attention trop grande quand vient le temps de faire des réglages. Au Michigan comme ici, il y a des tempêtes de neige, et l'on porte des gants pour conduire. Comme me le faisait remarquer Michel, il y a de la place au tableau de bord. Il en va de même pour l'emplacement de la commande des essuie-glaces, trop éloignée du volant. Mais ceux-ci, avec leur gicleur intégré, sont efficaces. La chaîne audio offre une belle reproduction sonore. Les gros rétroviseurs sont bien placés et facilitent le stationnement et les dépassements.
Places arrière polyvalentes
Chapeau à GM pour le système de rabat ou devrais-je dire le système de levier des assises arrière : divisibles (60 /40), elles ne demandent pas d'effort pour être relevées : je l'ai fait d'une seule main. Et elles donnent sur un plancher plat. J'ai logé de nombreuses valises et les sacs du beau-frère qui partait avec sa famille en Europe. Rabattus, les sièges arrière peuvent accueillir confortablement trois adultes. On voit ici que cette camionnette a été pensée avant tout pour le travail.
Mécanique efficace
Sous le capot, on retrouve le fameux V8 Vortec de 5,3 litres. Notre version comptait sur l'option E-85 sans frais, donc pouvait fonctionner sur un mélange d'essence et d'éthanol à 85 %. Ce moteur est accouplé à une boîte de vitesses automatique à 4 rapports, et le système de transmission intégrale comptait sur un différentiel arrière Eaton autoverrouillable.
À cet égard, le système d'engagement électronique de la transmission intégrale travaille à merveille et permet de passer du mode à 2 roues motrices au mode automatique et 4 x 4 d'un seul mouvement du commutateur placé au tableau de bord. Le passage à la prise basse nécessite qu'on passe au neutre à l'arrêt, ce qui est normal. Avec les tempêtes de neige que nous avons connues, nous avons apprécié l'efficacité du système.
Le Vortec jouit du système de désactivation des cylindres s'il tourne de façon régulière, ce qui permet d'obtenir une meilleure consommation de carburant. Seul Marc Bouchard, un autre de mes collègues, a pu sentir et voir la différence, puisqu'il a conduit cette Chevrolet sur l'autoroute suffisamment longtemps pour sentir le système en marche. Nos conditions hivernales ne nous ont pas permis de vraiment vérifier les résultats. Mes essais m'ont donné une consommation de carburant moyenne de 19 litres aux 100 kilomètres.
Si nous avons aimé la position et la visibilité des cadrans, le volant et le pédalier réglables, les commandes de la ventilation et du chauffage sont trop petites et demandent une attention trop grande quand vient le temps de faire des réglages. Au Michigan comme ici, il y a des tempêtes de neige, et l'on porte des gants pour conduire. Comme me le faisait remarquer Michel, il y a de la place au tableau de bord. Il en va de même pour l'emplacement de la commande des essuie-glaces, trop éloignée du volant. Mais ceux-ci, avec leur gicleur intégré, sont efficaces. La chaîne audio offre une belle reproduction sonore. Les gros rétroviseurs sont bien placés et facilitent le stationnement et les dépassements.
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| Outre les commandes de ventilation trop petites, le tableau de bord est complet et facile d'utilisation. |
Places arrière polyvalentes
Chapeau à GM pour le système de rabat ou devrais-je dire le système de levier des assises arrière : divisibles (60 /40), elles ne demandent pas d'effort pour être relevées : je l'ai fait d'une seule main. Et elles donnent sur un plancher plat. J'ai logé de nombreuses valises et les sacs du beau-frère qui partait avec sa famille en Europe. Rabattus, les sièges arrière peuvent accueillir confortablement trois adultes. On voit ici que cette camionnette a été pensée avant tout pour le travail.
Mécanique efficace
Sous le capot, on retrouve le fameux V8 Vortec de 5,3 litres. Notre version comptait sur l'option E-85 sans frais, donc pouvait fonctionner sur un mélange d'essence et d'éthanol à 85 %. Ce moteur est accouplé à une boîte de vitesses automatique à 4 rapports, et le système de transmission intégrale comptait sur un différentiel arrière Eaton autoverrouillable.
À cet égard, le système d'engagement électronique de la transmission intégrale travaille à merveille et permet de passer du mode à 2 roues motrices au mode automatique et 4 x 4 d'un seul mouvement du commutateur placé au tableau de bord. Le passage à la prise basse nécessite qu'on passe au neutre à l'arrêt, ce qui est normal. Avec les tempêtes de neige que nous avons connues, nous avons apprécié l'efficacité du système.
Le Vortec jouit du système de désactivation des cylindres s'il tourne de façon régulière, ce qui permet d'obtenir une meilleure consommation de carburant. Seul Marc Bouchard, un autre de mes collègues, a pu sentir et voir la différence, puisqu'il a conduit cette Chevrolet sur l'autoroute suffisamment longtemps pour sentir le système en marche. Nos conditions hivernales ne nous ont pas permis de vraiment vérifier les résultats. Mes essais m'ont donné une consommation de carburant moyenne de 19 litres aux 100 kilomètres.
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| Le V8 de 5,3 litres peut, en option, fonctionner avec du carburant composé de 85 % d'éthanol. |