6e place - Toyota RAV4 2012
Le RAV4 se veut le doyen de nos six multisegments compacts. Son design remonte à l'année-modèle 2006 et Toyota l'a très peu rafraîchi au fil des ans. Voilà la principale raison pour laquelle il termine au dernier rang.
Le Toyota RAV4 2012 a quand même obtenu d'excellentes notes au chapitre de l'espace et de l'accès, lui qui possède le deuxième plus grand coffre avec les sièges arrière en place et le plus volumineux lorsqu'on les rabat. Encore une fois, cependant, le hayon à ouverture latérale ne fait vraiment pas l'unanimité.
Tous nos essayeurs ont aimé le moteur de 2,5 L développant 179 chevaux et détesté sa boîte automatique à quatre rapports. Ainsi, malgré la plus forte cylindrée du groupe, le RAV4 a enregistré les pires temps d'accélération. Une boîte à six rapports l'aurait sans doute grandement aidé, mais peut-être pas assez pour améliorer sa position dans le classement final.
Le comportement routier s'avère correct - ni très confortable, ni très sportif. Avec quatre adultes à bord, la suspension semble en arracher. De même, la direction (pourtant légère avec un seul occupant) devient excessivement lourde. Le pire, ce sont les freins. Peu importe le nombre de personnes dans le véhicule, ils mettent beaucoup trop de temps à réagir aux actions de la pédale. Nous avons d'ailleurs eu la frousse lors de certaines descentes.
Évidemment, le RAV4 a perdu le plus de points au chapitre du style et de l'esthétique. Démodé, désuet, bouffi, pas très attrayant; tels sont des qualificatifs souvent utilisés pour le décrire, autant à l'extérieur qu'à l'intérieur.
Ses défauts physiques et son manque de rapports ne l'empêchent pas d'être fonctionnel et pratique. Le problème, c'est que tous ses adversaires le sont autant sinon plus. Vivement un nouveau RAV4!
Le RAV4 se veut le doyen de nos six multisegments compacts. Son design remonte à l'année-modèle 2006 et Toyota l'a très peu rafraîchi au fil des ans. Voilà la principale raison pour laquelle il termine au dernier rang.
Photo: Philippe Champoux |
Le Toyota RAV4 2012 a quand même obtenu d'excellentes notes au chapitre de l'espace et de l'accès, lui qui possède le deuxième plus grand coffre avec les sièges arrière en place et le plus volumineux lorsqu'on les rabat. Encore une fois, cependant, le hayon à ouverture latérale ne fait vraiment pas l'unanimité.
Tous nos essayeurs ont aimé le moteur de 2,5 L développant 179 chevaux et détesté sa boîte automatique à quatre rapports. Ainsi, malgré la plus forte cylindrée du groupe, le RAV4 a enregistré les pires temps d'accélération. Une boîte à six rapports l'aurait sans doute grandement aidé, mais peut-être pas assez pour améliorer sa position dans le classement final.
Le comportement routier s'avère correct - ni très confortable, ni très sportif. Avec quatre adultes à bord, la suspension semble en arracher. De même, la direction (pourtant légère avec un seul occupant) devient excessivement lourde. Le pire, ce sont les freins. Peu importe le nombre de personnes dans le véhicule, ils mettent beaucoup trop de temps à réagir aux actions de la pédale. Nous avons d'ailleurs eu la frousse lors de certaines descentes.
Évidemment, le RAV4 a perdu le plus de points au chapitre du style et de l'esthétique. Démodé, désuet, bouffi, pas très attrayant; tels sont des qualificatifs souvent utilisés pour le décrire, autant à l'extérieur qu'à l'intérieur.
Ses défauts physiques et son manque de rapports ne l'empêchent pas d'être fonctionnel et pratique. Le problème, c'est que tous ses adversaires le sont autant sinon plus. Vivement un nouveau RAV4!
Photo: Philippe Champoux |