D’après GMM et Auto123.com
Selon un magazine allemand, Bruno Senna aurait été évincé de l’écurie Hispania Racing Team à Silverstone à titre de punition pour avoir envoyé, par erreur, un courrier électronique qui critiquait l’écurie espagnole.
En l’absence d’explications de l’écurie dans le paddock de Silverstone, plusieurs ont cru que le nœud du problème était un défaut de paiements des commanditaires de Senna. Surtout que son remplaçant, Sakon Yamamoto, apportait une somme de 5$ millions.
Mais tard vendredi dernier, l’écurie Hispania déclarait que Senna serait de retour dans le cockpit de sa monoplace lors de la prochaine épreuve tenue à Hockenheim, ce qui laissait suggérer qu’il y avait anguille sous roche.
Le magazine Bild Motorsport prétend qu’un courriel est la cause du problème.
L’article indique que Senna aurait écrit un message hautement critique du patron de l’écurie, Colin Kolles, et de son style d’administration. Senna aurait, par erreur, envoyé le courriel à Kolles, qui n’a évidemment pas apprécié.
Ainsi, Senna aurait été puni de son insubordination par Kolles qui l’a remplacé par Yamamoto pour une course seulement.
Ce qui est étrange est que, selon Auto Bild, c’est plutôt l’autre pilote Hispania, Karun Chandhok, qui a bien failli perdre son volant pour défaut de paiement.
Il est aussi intéressant de noter que durant sa première saison en F1 en 1984, Ayrton Senna, l’oncle de Bruno, avait aussi été puni d’un Grand Prix par son écurie.
Ayrton, pilote de l’écurie Toleman, avait été empêché de disputer le Grand Prix d’Italie après que ses patrons aient appris qu’il était en pourparlers fort avancés avec Lotus pour la saison suivante, ce qui, selon Toleman, contrevenait avec les termes de son contrat.
Selon un magazine allemand, Bruno Senna aurait été évincé de l’écurie Hispania Racing Team à Silverstone à titre de punition pour avoir envoyé, par erreur, un courrier électronique qui critiquait l’écurie espagnole.
En l’absence d’explications de l’écurie dans le paddock de Silverstone, plusieurs ont cru que le nœud du problème était un défaut de paiements des commanditaires de Senna. Surtout que son remplaçant, Sakon Yamamoto, apportait une somme de 5$ millions.
Mais tard vendredi dernier, l’écurie Hispania déclarait que Senna serait de retour dans le cockpit de sa monoplace lors de la prochaine épreuve tenue à Hockenheim, ce qui laissait suggérer qu’il y avait anguille sous roche.
Le magazine Bild Motorsport prétend qu’un courriel est la cause du problème.
L’article indique que Senna aurait écrit un message hautement critique du patron de l’écurie, Colin Kolles, et de son style d’administration. Senna aurait, par erreur, envoyé le courriel à Kolles, qui n’a évidemment pas apprécié.
Ainsi, Senna aurait été puni de son insubordination par Kolles qui l’a remplacé par Yamamoto pour une course seulement.
Ce qui est étrange est que, selon Auto Bild, c’est plutôt l’autre pilote Hispania, Karun Chandhok, qui a bien failli perdre son volant pour défaut de paiement.
Il est aussi intéressant de noter que durant sa première saison en F1 en 1984, Ayrton Senna, l’oncle de Bruno, avait aussi été puni d’un Grand Prix par son écurie.
Ayrton, pilote de l’écurie Toleman, avait été empêché de disputer le Grand Prix d’Italie après que ses patrons aient appris qu’il était en pourparlers fort avancés avec Lotus pour la saison suivante, ce qui, selon Toleman, contrevenait avec les termes de son contrat.