D’après GMM
Le Japonais Kamui Kobayashi s’est rangé du côté de ses nouveaux patrons, bien qu’il pourrait être le prochain à faire les frais de leur grand ménage chez Caterham.
Juste avant de disparaître de la scène, le fondateur de l’écurie Tony Fernandes a remis les clés de son entreprise à de mystérieux nouveaux investisseurs de la Suisse et du Moyen-Orient représenté par Colin Kolles et Christijan Albers.
Ces derniers ont immédiatement mis 40 employés à la porte.
Les prochains changements pourraient concerner l’alignement de pilotes. Kobayashi, qui contrairement à son coéquipier Marcus Ericsson n’a pas de commanditaire, est donc sur un siège éjectable… encore.
Albers trouve que ses pilotes actuels se débrouillent « bien », mais il a laissé entendre qu’un changement était peut-être à venir. L’ancien pilote Spyker et Minardi a même admis avoir eu des pourparlers avec Red Bull, concernant la recrue Carlos Sainz Jr.
« Bien sûr il faut que les résultats soient au rendez-vous. Pour une équipe comme la nôtre, il faut aussi quelques commanditaires », explique le Néerlandais.
Bien qu’il soit vulnérable, Kobayashi approuve les décisions prises par ses nouveaux patrons jusqu’à maintenant.
« Je crois que c’est ce dont l’équipe avait besoin. Nous n’aurions peut-être pas pu finir la saison sinon », admet-il.
« Si vous voulez survivre, des fois il faut changer des choses. C’est pareil pour moi. Je dois donner le meilleur de moi-même derrière le volant, c’est ma motivation.
« Voyons voir ce qui va se passer. »
Le Japonais Kamui Kobayashi s’est rangé du côté de ses nouveaux patrons, bien qu’il pourrait être le prochain à faire les frais de leur grand ménage chez Caterham.
Juste avant de disparaître de la scène, le fondateur de l’écurie Tony Fernandes a remis les clés de son entreprise à de mystérieux nouveaux investisseurs de la Suisse et du Moyen-Orient représenté par Colin Kolles et Christijan Albers.
Ces derniers ont immédiatement mis 40 employés à la porte.
Les prochains changements pourraient concerner l’alignement de pilotes. Kobayashi, qui contrairement à son coéquipier Marcus Ericsson n’a pas de commanditaire, est donc sur un siège éjectable… encore.
Kamui Kobayashi va-t-il (encore) perdre sa place en F1? (Photo: WRi2) |
Albers trouve que ses pilotes actuels se débrouillent « bien », mais il a laissé entendre qu’un changement était peut-être à venir. L’ancien pilote Spyker et Minardi a même admis avoir eu des pourparlers avec Red Bull, concernant la recrue Carlos Sainz Jr.
« Bien sûr il faut que les résultats soient au rendez-vous. Pour une équipe comme la nôtre, il faut aussi quelques commanditaires », explique le Néerlandais.
Bien qu’il soit vulnérable, Kobayashi approuve les décisions prises par ses nouveaux patrons jusqu’à maintenant.
« Je crois que c’est ce dont l’équipe avait besoin. Nous n’aurions peut-être pas pu finir la saison sinon », admet-il.
« Si vous voulez survivre, des fois il faut changer des choses. C’est pareil pour moi. Je dois donner le meilleur de moi-même derrière le volant, c’est ma motivation.
« Voyons voir ce qui va se passer. »