D'après GMM
Après les gentillesses de cette semaine, le naturel intransigeant de Bernie Ecclestone est revenu au galop ce week-end, signifiant la fin potentielle du Grand Prix d'Australie tel qu'on le connait aujourd'hui.
Un contrat n’est pas toujours synonyme de garantie en Formule 1 et celui de Melbourne n’échappe pas à la règle. Ecclestone a laissé savoir qu’il aurait besoin d’espace à son calendrier très bientôt et l’Australie pourrait chercher à se départir de l’épreuve qui coûte cher aux contribuables, avant 2015.
« Nous devrons probablement laisser tomber deux courses pour faire de la place à Austin et la Russie », a déclaré l’homme d’affaires de 80 ans. « Les Australiens semblent dire qu’ils ne veulent pas de course. S’ils veulent s’en départir, qu’ils le fassent et notre rendez-vous du week-end prochain sera le dernier », a-t-il ajouté.
Cette remarque vient après celle de cette semaine à l’effet que l’Australie était importante au calendrier.
« Nous pourrions perdre la course [en 2015] à cause de moyens financiers », a pour sa part ajouté Ron Walker, président de la corporation qui gère le Grand Prix d’Australie.
Quant aux Grands Prix d’Espagne, ils pourraient bien devoir s’alterner très bientôt, comme c’est le cas en Allemagne depuis quelques années.
Après les gentillesses de cette semaine, le naturel intransigeant de Bernie Ecclestone est revenu au galop ce week-end, signifiant la fin potentielle du Grand Prix d'Australie tel qu'on le connait aujourd'hui.
Un contrat n’est pas toujours synonyme de garantie en Formule 1 et celui de Melbourne n’échappe pas à la règle. Ecclestone a laissé savoir qu’il aurait besoin d’espace à son calendrier très bientôt et l’Australie pourrait chercher à se départir de l’épreuve qui coûte cher aux contribuables, avant 2015.
« Nous devrons probablement laisser tomber deux courses pour faire de la place à Austin et la Russie », a déclaré l’homme d’affaires de 80 ans. « Les Australiens semblent dire qu’ils ne veulent pas de course. S’ils veulent s’en départir, qu’ils le fassent et notre rendez-vous du week-end prochain sera le dernier », a-t-il ajouté.
Cette remarque vient après celle de cette semaine à l’effet que l’Australie était importante au calendrier.
« Nous pourrions perdre la course [en 2015] à cause de moyens financiers », a pour sa part ajouté Ron Walker, président de la corporation qui gère le Grand Prix d’Australie.
Quant aux Grands Prix d’Espagne, ils pourraient bien devoir s’alterner très bientôt, comme c’est le cas en Allemagne depuis quelques années.