D’après GMM
Luca di Montezemolo devra faire mieux s’il veut convaincre le monde de l’automobile quand il dit qu’il reste à la tête de Ferrari.
Dans le cadre du Grand Prix d’Italie, le président de la célèbre marque a déclaré qu’il en avait pour encore « au moins 3 ans » à Maranello.
Mais la publication allemande Bild rapporte que derrière les portes du garage Ferrari, les choses ne sont pas aussi simples.
Ross Brawn serait sur le point de reprendre les rênes de la Scuderia pour permettre au patron actuel, Marco Mattiacci, de remplacer di Montezemolo, qui lui, zieute la direction de la compagnie aérienne Alitalia.
« Je ne vais pas commenter ces rumeurs », s’est contenté de répondre Mattiacci.
Piero Ferrari, le fils d’Enzo lui-même, refuse aussi de donner sa version des faits : « Je ne suis qu’un actionnaire minoritaire », plaide-t-il dans les pages de Speed Week.
Dans tous les cas, Pino Allievi, le journaliste italien le mieux coté dans le paddock, pense que la visite de Montezemolo cette fin de semaine à Monza était « sa dernière en tant que président de Ferrari ».
Luca di Montezemolo devra faire mieux s’il veut convaincre le monde de l’automobile quand il dit qu’il reste à la tête de Ferrari.
Dans le cadre du Grand Prix d’Italie, le président de la célèbre marque a déclaré qu’il en avait pour encore « au moins 3 ans » à Maranello.
Mais la publication allemande Bild rapporte que derrière les portes du garage Ferrari, les choses ne sont pas aussi simples.
Ross Brawn serait sur le point de reprendre les rênes de la Scuderia pour permettre au patron actuel, Marco Mattiacci, de remplacer di Montezemolo, qui lui, zieute la direction de la compagnie aérienne Alitalia.
Luca di Montezemolo (Photo: WRI2) |
« Je ne vais pas commenter ces rumeurs », s’est contenté de répondre Mattiacci.
Piero Ferrari, le fils d’Enzo lui-même, refuse aussi de donner sa version des faits : « Je ne suis qu’un actionnaire minoritaire », plaide-t-il dans les pages de Speed Week.
Dans tous les cas, Pino Allievi, le journaliste italien le mieux coté dans le paddock, pense que la visite de Montezemolo cette fin de semaine à Monza était « sa dernière en tant que président de Ferrari ».