D'après GMM
Jules Bianchi était sur le point de porter une combinaison Ferrari, dès 2015.
En visite au Salon Nautique de Gênes, le président sortant de Ferrari s'est déclaré « très triste » après l'accident du pilote français.
« Ce garçon est né avec nous, et nous pensions à lui comme notre pilote d'avenir », de dire Luca di Montezemolo.
L'Italien affirme que Jules Bianchi avait un avenir garanti à Maranello.
« Si nous alignons trois voitures l'an prochain, et je pense que nous allons devoir le faire, nous avions pensé à lui pour la troisième et il aurait été parfait pour les années à venir », de révéler Luca di Montezemolo.
« J'espère simplement que nous aurons de bonnes nouvelles bientôt. Malheureusement, nous parlons toujours de ces choses avec le recul, mais nous devons penser à ce qui s'est passé, si quelque chose n'a pas fonctionné à Suzuka. S'il y a eu une erreur nous devons apporter des changements », de poursuivre le président sortant de Ferrari.
« Ce fût évidemment une course très spéciale avec peu de visibilité à 3h de l'après-midi et beaucoup d'eau. Mais nous avons déjà vécu d'autres courses dans ces conditions et rien ne s'est produit. L'important est de comprendre la raison et d'empêcher que ça se reproduise », d'ajouter Luca di Montezemolo.
Jules Bianchi était sur le point de porter une combinaison Ferrari, dès 2015.
En visite au Salon Nautique de Gênes, le président sortant de Ferrari s'est déclaré « très triste » après l'accident du pilote français.
« Ce garçon est né avec nous, et nous pensions à lui comme notre pilote d'avenir », de dire Luca di Montezemolo.
L'Italien affirme que Jules Bianchi avait un avenir garanti à Maranello.
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| Jules Bianchi, Ferrari F14 T, à Silverstone. (Photo: WRi2) |
« Si nous alignons trois voitures l'an prochain, et je pense que nous allons devoir le faire, nous avions pensé à lui pour la troisième et il aurait été parfait pour les années à venir », de révéler Luca di Montezemolo.
« J'espère simplement que nous aurons de bonnes nouvelles bientôt. Malheureusement, nous parlons toujours de ces choses avec le recul, mais nous devons penser à ce qui s'est passé, si quelque chose n'a pas fonctionné à Suzuka. S'il y a eu une erreur nous devons apporter des changements », de poursuivre le président sortant de Ferrari.
« Ce fût évidemment une course très spéciale avec peu de visibilité à 3h de l'après-midi et beaucoup d'eau. Mais nous avons déjà vécu d'autres courses dans ces conditions et rien ne s'est produit. L'important est de comprendre la raison et d'empêcher que ça se reproduise », d'ajouter Luca di Montezemolo.