Les commissaires ont décerné une pénalité à Mark Webber (Red Bull), pour son incident avec Jean-Éric Vergne (Toro Rosso) lors du Grand Prix de Chine. L’Australien reculera de trois positions à Bahrein.
Les deux porte-couleurs Red Bull sont entrés en collision au virage 6 lorsque Webber, en train de remonter le peloton après être parti dernier, s’est porté à la hauteur de Vergne pour le dépasser.
Vergne est parti en tête à queue, et Webber a brisé son aileron avant. En quittant les puits où il venait de faire changer son museau, Webber a perdu une roue, mettant ainsi un terme à sa course.
Malgré tout, l'aîné ne jette pas le blâme sur son jeune adversaire. Il reste néanmoins perplexe devant la manœuvre qui l’a indirectement envoyé au tapis.
« C’est décevant. Il avait le droit de me bloquer comme il l’a fait, mais s’il m’avait donné un peu plus d’espace, nous serions passés tous les deux », explique-t-il.
« J’arrivais de loin, mais il savait que j’étais là. Je pensais qu’il m’ouvrait la porte.
« Et puis tout d’un coup il s’est rabattu vers le point de corde. Il était trop tard pour reculer. J’ai sûrement eu l’air d’un amateur sur la séquence. »
Visiblement amer du bilan de sa fin de semaine, Webber conclut sur une note d’humour : « Des scénaristes n’auraient pas fait pire. »
Les deux porte-couleurs Red Bull sont entrés en collision au virage 6 lorsque Webber, en train de remonter le peloton après être parti dernier, s’est porté à la hauteur de Vergne pour le dépasser.
Vergne est parti en tête à queue, et Webber a brisé son aileron avant. En quittant les puits où il venait de faire changer son museau, Webber a perdu une roue, mettant ainsi un terme à sa course.
Malgré tout, l'aîné ne jette pas le blâme sur son jeune adversaire. Il reste néanmoins perplexe devant la manœuvre qui l’a indirectement envoyé au tapis.
« C’est décevant. Il avait le droit de me bloquer comme il l’a fait, mais s’il m’avait donné un peu plus d’espace, nous serions passés tous les deux », explique-t-il.
« J’arrivais de loin, mais il savait que j’étais là. Je pensais qu’il m’ouvrait la porte.
« Et puis tout d’un coup il s’est rabattu vers le point de corde. Il était trop tard pour reculer. J’ai sûrement eu l’air d’un amateur sur la séquence. »
Visiblement amer du bilan de sa fin de semaine, Webber conclut sur une note d’humour : « Des scénaristes n’auraient pas fait pire. »