Lors des auditions du Tribunal international de la FIA tenues jeudi à Paris, l’écurie de Formule 1 Mercedes AMG s’est excusée d’avoir demandé à ses pilotes de porter des casques anonymes lors du fameux essai de pneus Pirelli à Barcelone.
Le tribunal entendait aujourd’hui les membres et les avocats de la FIA, de Mercedes et de Pirelli.
C’est parce que ses pilotes ne portaient pas leurs casques habituels qui a incité les autres écuries à parler d’essais « secrets », car il semblait être évident que Mercedes cherchait à dissimuler quelque chose.
L’écurie allemande s’est excusée, avouant que ces casques noirs avaient fait croire que la tenue de ces essais devait être gardée secrète.
Paul Harris, avocat de Mercedes, a expliqué que Lewis Hamilton et Nico Rosberg portaient des casques anonymes afin d’éviter des problèmes de sécurité avec les amateurs.
« Nous avions nos raisons. Il y avait un manque d’effectif de gardes de sécurité. Nous avouons que ce détail de notre part a créé de la suspicion, ce qui est regrettable », de dire Harris.
« Nous regrettons avoir pris cette décision. Nous nous en excusons », d’ajouter l’avocat.
Ce à quoi l’avocat de la FIA a rétorqué : « Que redoutiez-vous ? Le circuit était fermé aux spectateurs… »
Le tribunal entendait aujourd’hui les membres et les avocats de la FIA, de Mercedes et de Pirelli.
C’est parce que ses pilotes ne portaient pas leurs casques habituels qui a incité les autres écuries à parler d’essais « secrets », car il semblait être évident que Mercedes cherchait à dissimuler quelque chose.
L’écurie allemande s’est excusée, avouant que ces casques noirs avaient fait croire que la tenue de ces essais devait être gardée secrète.
Paul Harris, avocat de Mercedes, a expliqué que Lewis Hamilton et Nico Rosberg portaient des casques anonymes afin d’éviter des problèmes de sécurité avec les amateurs.
« Nous avions nos raisons. Il y avait un manque d’effectif de gardes de sécurité. Nous avouons que ce détail de notre part a créé de la suspicion, ce qui est regrettable », de dire Harris.
« Nous regrettons avoir pris cette décision. Nous nous en excusons », d’ajouter l’avocat.
Ce à quoi l’avocat de la FIA a rétorqué : « Que redoutiez-vous ? Le circuit était fermé aux spectateurs… »