D'après GMM
Alors que le débat autour de la légalité du F-duct fait rage, certains suggèrent que Ross Brawn a brisé le « gentlemen's agreement » (l'accord amiable) en continuant le développement du concept abandonné fin 2010.
Un journaliste du Sport Bild ironisait récemment en conférence de presse, « pour un tel accord, la Fomule Un aurait besoin de gentlemen ».
Cité comme un des derniers du paddock, Peter Sauber, président-fondateur de l'équipe, insiste dans le Sonntagsblick qu'il y a toujours des « gentlemen » en F1.
Suite à la deuxième place de Sergio Pérez à Sepang, en Malaisie, le Suisse déclare : « Martin Whitmarsh, de McLaren, m'a adressé de très belles félicitations. Franz Tost (Toro Rosso) m'a écrit une lettre adorable. Et puis Domenicali, ainsi que les gens de Ferrari, avec qui nous avons une relation très amicale ».
Interrogé sur la présence d'autres gentlemen en F1, Peter Sauber insiste : « Dans les affaires, on ne se pose pas vraiment la question. Je ne connaissais pas Colin Chapman. Ken Tyrrell était quelqu'un que j'admirais grandement, mais il ne nous (Sauber) prenait pas au sérieux. C'était la même chose avec Frank Williams ».
Et avec un scepticisme et un cynisme encore plus grand maintenant, c'est encore la même chose. Bien que rapide durant les essais hivernaux, la Sauber 2012 n'était pas considérée comme une menace avant ses premiers résultats.
Peter Sauber remarque : « Nous savions que notre voiture était bonne après les essais de Jerez et Barcelone. Mais les autres (équipes) pensaient simplement que nous roulions à vide, ce qui est classique quand une équipe de milieu de grille se place devant ».
Le patron de l'équipe suisse s'amuse surtout des agitations autour de son pilote Sergio Pérez.
Il affirme en souriant : « Il y a un an, tout le monde disait qu'il payait pour sa place tout simplement. Ça me fait rire de voir les mêmes affirmer qu'il va aller chez Ferrari ».
Alors que le débat autour de la légalité du F-duct fait rage, certains suggèrent que Ross Brawn a brisé le « gentlemen's agreement » (l'accord amiable) en continuant le développement du concept abandonné fin 2010.
Un journaliste du Sport Bild ironisait récemment en conférence de presse, « pour un tel accord, la Fomule Un aurait besoin de gentlemen ».
Cité comme un des derniers du paddock, Peter Sauber, président-fondateur de l'équipe, insiste dans le Sonntagsblick qu'il y a toujours des « gentlemen » en F1.
Suite à la deuxième place de Sergio Pérez à Sepang, en Malaisie, le Suisse déclare : « Martin Whitmarsh, de McLaren, m'a adressé de très belles félicitations. Franz Tost (Toro Rosso) m'a écrit une lettre adorable. Et puis Domenicali, ainsi que les gens de Ferrari, avec qui nous avons une relation très amicale ».
Interrogé sur la présence d'autres gentlemen en F1, Peter Sauber insiste : « Dans les affaires, on ne se pose pas vraiment la question. Je ne connaissais pas Colin Chapman. Ken Tyrrell était quelqu'un que j'admirais grandement, mais il ne nous (Sauber) prenait pas au sérieux. C'était la même chose avec Frank Williams ».
Peter Sauber regarde Kamui Kobayashi se préparer. (Photo: WRi2) |
Et avec un scepticisme et un cynisme encore plus grand maintenant, c'est encore la même chose. Bien que rapide durant les essais hivernaux, la Sauber 2012 n'était pas considérée comme une menace avant ses premiers résultats.
Peter Sauber remarque : « Nous savions que notre voiture était bonne après les essais de Jerez et Barcelone. Mais les autres (équipes) pensaient simplement que nous roulions à vide, ce qui est classique quand une équipe de milieu de grille se place devant ».
Le patron de l'équipe suisse s'amuse surtout des agitations autour de son pilote Sergio Pérez.
Il affirme en souriant : « Il y a un an, tout le monde disait qu'il payait pour sa place tout simplement. Ça me fait rire de voir les mêmes affirmer qu'il va aller chez Ferrari ».