Un hic, toutefois : mon exemplaire n'avait que 12 000 kilomètres au compteur mais, étrangement, le dossier du siège du conducteur avait déjà perdu de sa solidité. Il bougeait un tantinet vers l'avant et l'arrière en conduisant – un irritant majeur dans les rues de la ville. Pourtant, je suis convaincu qu'un tout petit ajustement corrigerait le problème.
En ce qui concerne le tableau de bord, tous les morceaux m’apparaissent aux bons endroits, sauf la commande de l'essuie-glace arrière, qui se trouve en bas complètement du bloc central et requiert un bon coup d’œil. Voilà une distraction bien inutile, d'autant plus qu'on l'utilise spécialement dans des conditions routières peu clémentes. L'assemblage et la finition m'ont plu, bien que certains plastiques s'avèrent durs et de piètre qualité.
Passons maintenant sous le capot. Chacun des grands multisegments de GM exploite le polyvalent V6 de 3,6 litres qui développe 288 chevaux et un couple de 270 livres-pied via une boîte automatique à six rapports. De série, le véhicule adopte une traction avant; l'Acadia Denali, lui, jouit d'emblée de la traction intégrale automatique.
La toute première impression qu'a le conducteur en prenant la route est d'avoir affaire à un lourd mastodonte. Ce GMC de 4925 livres (2234 kilos) semble en arracher du décollage jusqu'à l'atteinte d'une bonne vitesse de croisière. Or, dans les faits, il accélère de 0 à 100 km/h en huit secondes et des poussières – bon pour la troisième place dans notre classement.
Dieu merci, les freins se montrent à la hauteur quand vient le temps de neutraliser les excès de vitesse. Nous avons réussi à ralentir de 100 à 0 km/h sur une distance raisonnable de 46 mètres, ce qui est nettement mieux qu'avec le nouveau Ford Explorer (59 m). En outre, les tests de freinage répétés n'ont pas affecté la sensation ferme et agréable de la pédale.
Plus souvent qu'autrement, vous filerez en douce à 100 km/h pendant que la boîte automatique garde le moteur à un régime extrêmement bas, soit environ 1600 tours/minute. Il en résulte une conduite paisible et silencieuse mais, malheureusement, pas l'économie d'essence anticipée. L'Acadia a affiché une moyenne supérieure à 15 litres aux 100 kilomètres lors du match comparatif. J'ai obtenu un peu mieux (14 L/100) durant mon essai personnel. GM annonce pourtant une consommation beaucoup moins importante.
En ce qui concerne le tableau de bord, tous les morceaux m’apparaissent aux bons endroits, sauf la commande de l'essuie-glace arrière, qui se trouve en bas complètement du bloc central et requiert un bon coup d’œil. Voilà une distraction bien inutile, d'autant plus qu'on l'utilise spécialement dans des conditions routières peu clémentes. L'assemblage et la finition m'ont plu, bien que certains plastiques s'avèrent durs et de piètre qualité.
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| Chacun des grands multisegments de GM exploite le polyvalent V6 de 3,6 litres qui développe 288 chevaux. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |
Passons maintenant sous le capot. Chacun des grands multisegments de GM exploite le polyvalent V6 de 3,6 litres qui développe 288 chevaux et un couple de 270 livres-pied via une boîte automatique à six rapports. De série, le véhicule adopte une traction avant; l'Acadia Denali, lui, jouit d'emblée de la traction intégrale automatique.
La toute première impression qu'a le conducteur en prenant la route est d'avoir affaire à un lourd mastodonte. Ce GMC de 4925 livres (2234 kilos) semble en arracher du décollage jusqu'à l'atteinte d'une bonne vitesse de croisière. Or, dans les faits, il accélère de 0 à 100 km/h en huit secondes et des poussières – bon pour la troisième place dans notre classement.
Dieu merci, les freins se montrent à la hauteur quand vient le temps de neutraliser les excès de vitesse. Nous avons réussi à ralentir de 100 à 0 km/h sur une distance raisonnable de 46 mètres, ce qui est nettement mieux qu'avec le nouveau Ford Explorer (59 m). En outre, les tests de freinage répétés n'ont pas affecté la sensation ferme et agréable de la pédale.
Plus souvent qu'autrement, vous filerez en douce à 100 km/h pendant que la boîte automatique garde le moteur à un régime extrêmement bas, soit environ 1600 tours/minute. Il en résulte une conduite paisible et silencieuse mais, malheureusement, pas l'économie d'essence anticipée. L'Acadia a affiché une moyenne supérieure à 15 litres aux 100 kilomètres lors du match comparatif. J'ai obtenu un peu mieux (14 L/100) durant mon essai personnel. GM annonce pourtant une consommation beaucoup moins importante.
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| L'Acadia a affiché une moyenne supérieure à 15 litres aux 100 kilomètres lors du match comparatif. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |