Bien dans sa peau, ce moteur développe 250 ch à 5 700 tours et 247 pi-lb de couple à 4 300 tours. Cette puissance est livrée de façon linéaire et coulée grâce à une boîte automatique à cinq rapports avec contrôle logique de l’inclinaison. Cette fonction embarque lorsqu’on gravit une pente raide, tenant une vitesse inférieure afin de maintenir le régime du moteur; en descente, le maintien d’un rapport inférieur améliore le freinage moteur.
La boîte travaille pertinemment, contribuant au raffinement général du groupe motopropulseur de Honda. Émergeant de la colonne de direction, le levier permet un plus grand espace de rangement entre les sièges avant. Extrêmement modulable, le compartiment en question se laisse agrandir ou rapetisser selon nos besoins.
En revanche, on ne retrouve pas le mode manuel électronique si courant dans les véhicules contemporains. J’aime bien la convivialité de ces dispositifs par rapport aux leviers manuels sur la colonne de direction, surtout lorsque je cours les sentiers.
Adhérence accrue grâce au VTM-4
La technologie de quatre roues motrices à contrôle variable de couple de Honda, moins encombrante, crée l’adhérence nécessaire sans consommer inutilement d’énergie. Les quatre roues entraînent le Ridgeline plutôt habilement, sans aucun effet de couple.
En accélération ou en prévision de patinage, le système VTM-4 actionne imperceptiblement les roues arrière, reliées au moyen d’un différentiel à glissement limité. Pour les vraies corvées, le conducteur peut bloquer les roues arrière à l’aide d’une commande sur le groupe d’instruments. Au-delà de 30 km/h, le dispositif s’éteint automatiquement.
Même si la Ridgeline ne dispose pas d’une gamme basse pour les excursions en terrain inconnu, elle s’avère parfaitement compétente dans la neige et la boue, comme sur la route d’ailleurs.
Derrière le volant
Ses plus grands atouts? Sa dynamique de conduite et sa manœuvrabilité dignes d’une voiture. Bref, on n’a pas l’impression de conduire une camionnette. La Ridgeline paraît plus maniable que les gros modèles à quatre portières, une caractéristique attrayante pour ceux qui nécessitent une camionnette, mais qui n’en sont pas friands.
De plus, ces acheteurs apprécieront sans doute le confort relatif que procure la suspension ainsi que l’agilité du modèle. En général, ce véhicule semble avoir le pas plus léger qu’une machine à cabine double et à 4RM type, une qualité importante pour de nombreux consommateurs.
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| Bien dans sa peau, ce moteur développe 250 ch à 5 700 tours et 247 pi-lb de couple à 4 300 tours. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
La boîte travaille pertinemment, contribuant au raffinement général du groupe motopropulseur de Honda. Émergeant de la colonne de direction, le levier permet un plus grand espace de rangement entre les sièges avant. Extrêmement modulable, le compartiment en question se laisse agrandir ou rapetisser selon nos besoins.
En revanche, on ne retrouve pas le mode manuel électronique si courant dans les véhicules contemporains. J’aime bien la convivialité de ces dispositifs par rapport aux leviers manuels sur la colonne de direction, surtout lorsque je cours les sentiers.
Adhérence accrue grâce au VTM-4
La technologie de quatre roues motrices à contrôle variable de couple de Honda, moins encombrante, crée l’adhérence nécessaire sans consommer inutilement d’énergie. Les quatre roues entraînent le Ridgeline plutôt habilement, sans aucun effet de couple.
En accélération ou en prévision de patinage, le système VTM-4 actionne imperceptiblement les roues arrière, reliées au moyen d’un différentiel à glissement limité. Pour les vraies corvées, le conducteur peut bloquer les roues arrière à l’aide d’une commande sur le groupe d’instruments. Au-delà de 30 km/h, le dispositif s’éteint automatiquement.
Même si la Ridgeline ne dispose pas d’une gamme basse pour les excursions en terrain inconnu, elle s’avère parfaitement compétente dans la neige et la boue, comme sur la route d’ailleurs.
Derrière le volant
Ses plus grands atouts? Sa dynamique de conduite et sa manœuvrabilité dignes d’une voiture. Bref, on n’a pas l’impression de conduire une camionnette. La Ridgeline paraît plus maniable que les gros modèles à quatre portières, une caractéristique attrayante pour ceux qui nécessitent une camionnette, mais qui n’en sont pas friands.
De plus, ces acheteurs apprécieront sans doute le confort relatif que procure la suspension ainsi que l’agilité du modèle. En général, ce véhicule semble avoir le pas plus léger qu’une machine à cabine double et à 4RM type, une qualité importante pour de nombreux consommateurs.
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| Ces acheteurs apprécieront sans doute le confort relatif que procure la suspension ainsi que l’agilité du modèle. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |