Une transmission étonnante
Tous les modèles sont propulsés par un V6 de 3,8 litres envoyant 202 chevaux à une boîte de transfert 4x4 à l'aide d'une boîte de vitesses automatique à 4 rapports ou manuelle à 6 rapports. Mon bolide avait hérité de la boîte manuelle veloutée qui permettait de monter dans les rapports en deçà de 2 000 r/min afin d'optimiser la consommation. C'est un bon jet, mais le changement de vitesse est un vrai plaisir grâce au levier régulier et à l'embrayage léger.
Le moteur est avare de paroles et s'avère étonnamment silencieux et raffiné pour ce type de véhicule. Une consommation moyenne de 13 l/100 km est plus qu'acceptable pour ce genre de machine aussi.
Sur la route
Le petit empattement, la hauteur et la structure de carrosserie sur châssis lui donnent un caractère nerveux et ballotant sur les surfaces bosselées. De plus, les roues avant sont reliées par un essieu avant rigide qui ne permet ni précision ni netteté de direction à vitesse élevée. L'ensemble complet est coriace et permet une bonne garde au sol, mais les non-initiés aux produits Jeep devront s'y habituer.
Le Wrangler se laisser garer et tourne sur un dix sous, bien qu'on doit régler les rétroviseurs précisément pour palier la visibilité arrière réduite. Ce ne sont là que des détails, et le Wrangler se rachète amplement lorsque la route fait place à la boue.
Hors route
Il passe littéralement partout. Grâce à un plancher hyper solide et une boîte de transfert à gamme basse, il rampe, grimpe et crache la boue en toute confiance là ou les utilitaires coquets n'osent pas s'aventurer.
La transmission intégrale est enclenchée à l'aide d'un levier, et le contrôle de la stabilité peut être presque entièrement désactivé lorsqu'on doit faire tourner les roues pour se libérer de la boue ou du sable. Si ça ne fonctionne pas, demandez à un confrère Jeep de vous extraire à l'aide de vos anneaux de remorquage.
La garde au sol ne m'a pas posé de problème non plus, même lorsque la suspension était cambrée au maximum ou lorsque je titubais au sommet de côtes raides. Ne l'essayez pas au volant d'un CR-V au Rav-4, cela vous coûtera une visite dispendieuse à l'atelier.
Mais n'hésitez surtout pas à aller vous amuser dans la boue par un beau samedi ensoleillé avec votre club Jeep. Vous serez ravi par l'aisance avec laquelle le Wrangler traverse les plans d'eau, gravit les pentes escarpées et catapulte la terre derrière lui. Passez par le lave-auto après, puis rejoignez vos nouveaux camarades pour vous conter vos histoires de pêche dans le stationnement d'un Tim Hortons.
On en a pour notre argent
En plus de son look saisissant, le Wrangler est également une des décapotables les plus abordables sur la route, muni d'un toit souple qui se rabat pour notre plus grand plaisir.
À cela s'ajoute un droit d'entrée automatique à une communauté exclusive de propriétaires, des compétences hivernales et de camping et une volonté de tracter de petites remorques qui offrent une valeur inouïe pour le consommateur actif et friand de plein air.
photo:Justin Pritchard, Chris Koski
Tous les modèles sont propulsés par un V6 de 3,8 litres envoyant 202 chevaux à une boîte de transfert 4x4 à l'aide d'une boîte de vitesses automatique à 4 rapports ou manuelle à 6 rapports. Mon bolide avait hérité de la boîte manuelle veloutée qui permettait de monter dans les rapports en deçà de 2 000 r/min afin d'optimiser la consommation. C'est un bon jet, mais le changement de vitesse est un vrai plaisir grâce au levier régulier et à l'embrayage léger.
Le moteur est avare de paroles et s'avère étonnamment silencieux et raffiné pour ce type de véhicule. Une consommation moyenne de 13 l/100 km est plus qu'acceptable pour ce genre de machine aussi.
Sur la route
Le petit empattement, la hauteur et la structure de carrosserie sur châssis lui donnent un caractère nerveux et ballotant sur les surfaces bosselées. De plus, les roues avant sont reliées par un essieu avant rigide qui ne permet ni précision ni netteté de direction à vitesse élevée. L'ensemble complet est coriace et permet une bonne garde au sol, mais les non-initiés aux produits Jeep devront s'y habituer.
Le Wrangler se laisser garer et tourne sur un dix sous, bien qu'on doit régler les rétroviseurs précisément pour palier la visibilité arrière réduite. Ce ne sont là que des détails, et le Wrangler se rachète amplement lorsque la route fait place à la boue.
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| Mon modèle d'essai était un Wrangler X doté de quelques commodités dérivées d'un groupe d'options complet. |
Hors route
Il passe littéralement partout. Grâce à un plancher hyper solide et une boîte de transfert à gamme basse, il rampe, grimpe et crache la boue en toute confiance là ou les utilitaires coquets n'osent pas s'aventurer.
La transmission intégrale est enclenchée à l'aide d'un levier, et le contrôle de la stabilité peut être presque entièrement désactivé lorsqu'on doit faire tourner les roues pour se libérer de la boue ou du sable. Si ça ne fonctionne pas, demandez à un confrère Jeep de vous extraire à l'aide de vos anneaux de remorquage.
La garde au sol ne m'a pas posé de problème non plus, même lorsque la suspension était cambrée au maximum ou lorsque je titubais au sommet de côtes raides. Ne l'essayez pas au volant d'un CR-V au Rav-4, cela vous coûtera une visite dispendieuse à l'atelier.
Mais n'hésitez surtout pas à aller vous amuser dans la boue par un beau samedi ensoleillé avec votre club Jeep. Vous serez ravi par l'aisance avec laquelle le Wrangler traverse les plans d'eau, gravit les pentes escarpées et catapulte la terre derrière lui. Passez par le lave-auto après, puis rejoignez vos nouveaux camarades pour vous conter vos histoires de pêche dans le stationnement d'un Tim Hortons.
On en a pour notre argent
En plus de son look saisissant, le Wrangler est également une des décapotables les plus abordables sur la route, muni d'un toit souple qui se rabat pour notre plus grand plaisir.
À cela s'ajoute un droit d'entrée automatique à une communauté exclusive de propriétaires, des compétences hivernales et de camping et une volonté de tracter de petites remorques qui offrent une valeur inouïe pour le consommateur actif et friand de plein air.
photo:Justin Pritchard, Chris Koski
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