Pas juste un gros salon roulant
Ce n’est pas d’hier que Lexus affirme rechercher la perfection. Seulement sur la gestion des bruits, l’ensemble du dessous de la voiture est recouvert pour limiter les mouvements d’air et diriger les turbulences. Le châssis obtient un sous-cadre anti-vibration pour contrer les aléas causés par les imperfections de la route, donc on roule en silence.
On constate que le travail des ingénieurs s’oriente vers le confort de roulement. La suspension se veut ultra douce, deux types d’ajustements sont possibles. Le mode Sport ne m’a pas tellement convaincu, alors que le mode confort transforme cette grosse Lexus en pur délice. Victime de sa qualité, à bord de la voiture tout est totalement aseptisé, il n’y a plus aucun contact avec l’extérieur.
Au volant j’ai apprécié conduire cette voiture, pourtant réputée pour être un véritable somnifère. La direction brille par son efficacité et sa précision, la tenue de route est très bonne, surtout que la traction intégrale nous fournit la traction voulue quand la chaussée est glissante. Le comportement général excelle. Les freins ventilés sont puissants et réussissent à immobiliser la voiture sans grand effort.
La puissance moteur de la LS n’est jamais à court. Le V8 de 4,6 litres n’échoue pas. Les 380 chevaux et le couple de 344 lb/pi offrent d’excellentes accélérations et de fortes reprises. Évidemment, la souplesse du moteur s’exacerbe dû à la transmission à contrôle électronique Super ECT à huit rapports. En plus d’être totalement absente de notre conscience, elle aide une consommation somme toute réduite avec 12 litres au 100.
Toute bonne chose a une fin
La Lexus LS460L, est une voiture dont le confort, la sécurité et la performance sont englobés dans un style qui se démarque des autres. Bien sûr elle est imposante, par contre elle reste discrète par rapport à la compétition. Pour 112 000$ elle est faite pour satisfaire les présidents de compagnie prospères, pas les enfants d’école.
Ce n’est pas d’hier que Lexus affirme rechercher la perfection. Seulement sur la gestion des bruits, l’ensemble du dessous de la voiture est recouvert pour limiter les mouvements d’air et diriger les turbulences. Le châssis obtient un sous-cadre anti-vibration pour contrer les aléas causés par les imperfections de la route, donc on roule en silence.
On constate que le travail des ingénieurs s’oriente vers le confort de roulement. La suspension se veut ultra douce, deux types d’ajustements sont possibles. Le mode Sport ne m’a pas tellement convaincu, alors que le mode confort transforme cette grosse Lexus en pur délice. Victime de sa qualité, à bord de la voiture tout est totalement aseptisé, il n’y a plus aucun contact avec l’extérieur.
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| Les 380 chevaux et le couple de 344 lb/pi offrent d’excellentes accélérations et de fortes reprises. (Photo : Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Au volant j’ai apprécié conduire cette voiture, pourtant réputée pour être un véritable somnifère. La direction brille par son efficacité et sa précision, la tenue de route est très bonne, surtout que la traction intégrale nous fournit la traction voulue quand la chaussée est glissante. Le comportement général excelle. Les freins ventilés sont puissants et réussissent à immobiliser la voiture sans grand effort.
La puissance moteur de la LS n’est jamais à court. Le V8 de 4,6 litres n’échoue pas. Les 380 chevaux et le couple de 344 lb/pi offrent d’excellentes accélérations et de fortes reprises. Évidemment, la souplesse du moteur s’exacerbe dû à la transmission à contrôle électronique Super ECT à huit rapports. En plus d’être totalement absente de notre conscience, elle aide une consommation somme toute réduite avec 12 litres au 100.
Toute bonne chose a une fin
La Lexus LS460L, est une voiture dont le confort, la sécurité et la performance sont englobés dans un style qui se démarque des autres. Bien sûr elle est imposante, par contre elle reste discrète par rapport à la compétition. Pour 112 000$ elle est faite pour satisfaire les présidents de compagnie prospères, pas les enfants d’école.
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