La boîte manuelle à 6 rapports, aussi fournie par Toyota; Lotus la modifie toutefois pour offrir la boîte Sport-Ratio en option dans l’Evora régulière et de série dans l’Evora S. Les rapports un et deux sont identiques, les rapports trois à six profitent de ratios plus courts. En passant, l’Evora IPS, avec sa boîte automatique, arrivera en Amérique du Nord cet automne comme modèle 2012.
L’Evora S dispose d’un compresseur volumétrique, boulonné sur le dessus du moteur, et produit 345 chevaux ainsi que 295 livres-pied de couple, en hausse de 69 étalons et de 37 lb-pi par rapport à la voiture de base. La boîte manuelle est la seule disponible dans la version S. Lotus cite un temps de 0-100 km/h de 4,5 secondes et une vitesse de pointe de 277 km/h. Cela semble très réaliste, puisque la voiture ne pèse que 1 437 kilos (ou 3 168 livres). En comparaison, la version atmosphérique atteint les 100 km/h 0,6 seconde plus tard.
L’Evora suralimentée obtient en outre une suspension plus ferme, avec des coussinets avant et arrière 10% plus rigides, une barre antiroulis arrière légèrement plus large en diamètre, ainsi qu’un triangle de suspension supérieur avant révisé. Après avoir comparé les deux voitures sur la piste, la différence reste assez négligeable : la voiture de base se révèle déjà formidable, alors un gros changement était futile. Les freins fantastiques se trouvent parmi les plus efficaces que nous n’ayons jamais testés.
De série dans toutes les Evora figurent une foule d’assistances à la conduite, dont le contrôle de freinage en courbe, l’antipatinage, le contrôle de stabilité, l’antiblocage, la répartition de force de freinage, l’assistance au freinage hydraulique et le verrouillage du différentiel.
La hausse de puissance assure une voiture un peu plus rapide, par contre la sonorité se retrouve grandement améliorée, plus agressive que la version suralimentée. Sur le bord de la piste, on regarde passer les Evora à plein régime : le modèle S dévore la ligne droite avec un rugissement beaucoup plus enivrant que la version de base.
Comment distinguer une Evora S d’une version atmosphérique? Facile : la S obtient un diffuseur d’air proéminent au derrière, un simple embout d’échappement central et des rétroviseurs de couleur noire. L’ensemble Sport avec disques de frein perforés, refroidisseur d’huile moteur et un mode Sport est inclus, tout comme un échappement avec un flux moins restrictif contribuant à la sonorité plus riche.
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| Lotus cite un temps de 0-100 km/h de 4,5 secondes et une vitesse de pointe de 277 km/h. (Photo: Philippe Champoux/Auto123.com) |
L’Evora S dispose d’un compresseur volumétrique, boulonné sur le dessus du moteur, et produit 345 chevaux ainsi que 295 livres-pied de couple, en hausse de 69 étalons et de 37 lb-pi par rapport à la voiture de base. La boîte manuelle est la seule disponible dans la version S. Lotus cite un temps de 0-100 km/h de 4,5 secondes et une vitesse de pointe de 277 km/h. Cela semble très réaliste, puisque la voiture ne pèse que 1 437 kilos (ou 3 168 livres). En comparaison, la version atmosphérique atteint les 100 km/h 0,6 seconde plus tard.
L’Evora suralimentée obtient en outre une suspension plus ferme, avec des coussinets avant et arrière 10% plus rigides, une barre antiroulis arrière légèrement plus large en diamètre, ainsi qu’un triangle de suspension supérieur avant révisé. Après avoir comparé les deux voitures sur la piste, la différence reste assez négligeable : la voiture de base se révèle déjà formidable, alors un gros changement était futile. Les freins fantastiques se trouvent parmi les plus efficaces que nous n’ayons jamais testés.
De série dans toutes les Evora figurent une foule d’assistances à la conduite, dont le contrôle de freinage en courbe, l’antipatinage, le contrôle de stabilité, l’antiblocage, la répartition de force de freinage, l’assistance au freinage hydraulique et le verrouillage du différentiel.
La hausse de puissance assure une voiture un peu plus rapide, par contre la sonorité se retrouve grandement améliorée, plus agressive que la version suralimentée. Sur le bord de la piste, on regarde passer les Evora à plein régime : le modèle S dévore la ligne droite avec un rugissement beaucoup plus enivrant que la version de base.
Comment distinguer une Evora S d’une version atmosphérique? Facile : la S obtient un diffuseur d’air proéminent au derrière, un simple embout d’échappement central et des rétroviseurs de couleur noire. L’ensemble Sport avec disques de frein perforés, refroidisseur d’huile moteur et un mode Sport est inclus, tout comme un échappement avec un flux moins restrictif contribuant à la sonorité plus riche.
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| La finition est bonne, quoique pas aussi impeccable que dans une Porsche ou une Audi. (Photo: Philippe Champoux/Auto123.com) |