De l'extérieur
Aucun doute, lorsque l'on regarde la Mazda3 de face, on sait que cette petite berline fait partie du reste de la famille Mazda. Les phares et les feux de position sont circulaires, nichant dans une nacelle commune, comme dans le cas de la Mazda6. L'entrée d'air sous le bouclier rappelle, quant à lui, celui de la RX-8. Les versions de base ont une calandre noire faisant tout de même bonne figure, tandis que le modèle GT reçoit une calandre de couleur harmonisée avec celle de la carrosserie. La ligne latérale de la carrosserie est bien réussie, sauf que celle-ci se termine, tant sur la berline que sur la hatchback, de manière très abrupte, surtout sur la berline, où le couvercle du coffre est très court.
Parlant de l'arrière, notons que deux modèles de feux arrière sont disponibles sur la berline; toutes les versions reçoivent un modèle rouge avec ouvertures blanches pour les lumières de recul. Ceux qui commandent le groupe GFX, disponible uniquement sur la GT, auront droit à des feux transparents, plus " à l'Européenne " que ceux de base. Pas moins de quatre types de roues sont proposés selon le modèle et le groupe choisi, soit des 15 pouces en acier avec enjoliveurs (faisant mauvaise mine), et des roues en alliage de 15, 16 et 17 pouces. Sur la voiture mise à l'essai, tous les panneaux, plastiques et autres artifices visuels étaient bien assemblés.
De l'intérieur
Si l'extérieur de la Mazda3 demeure tout de même assez ordinaire, force est d'admettre que l'intérieur démontre une nette amélioration face à celui de la Protegé. La rigueur d'assemblage, ainsi que la qualité des différents matériaux utilisés, sont toutes deux sans aucun reproche. Les sièges sont en tissu de bonne qualité, procurent un maintien latéral satisfaisant, et peuvent être ajustés en hauteur. La position de conduite s'avère très bonne, tout en procurant un confort permettant de faire de longs parcours sans se fatiguer. Les rangements sont en nombre suffisant; il y a même des vide-poches à l'arrière, lesquels ont une forme pouvant accueillir des bouteilles et ainsi servir de porte-gobelets. L'ergonomie se révèle assez bonne : les molettes pour régler la ventilation sont bien placées, tandis que les commandes de la chaîne audio sont disponibles en double. On peut ajuster le volume de la radio, changer les stations AM/FM et les pistes sur un CD à partir du volant. Cette manière d'opérer s'avère relativement facile, plus facile que d'utiliser les commandes montées sur la planche de bord, dont les témoins lumineux placés de chaque côté du bouton pour ajuster le volume sont franchement fatigants. Puisqu'on parle de la chaîne audio, celui-ci offre un très bon rendement, allié à un indicateur pratique monté sur le haut de la planche de bord. Celui-ci indique l'heure (en mode 24 heures, s'il vous plaît), le volume lorsqu'on ajuste celui-ci, la station de radio choisie ou la piste sélectionnée sur le CD, et les réglages du système de ventilation. Cet afficheur dit même bonjour aux occupants lorsque le moteur vient d'être démarré.
Aucun doute, lorsque l'on regarde la Mazda3 de face, on sait que cette petite berline fait partie du reste de la famille Mazda. Les phares et les feux de position sont circulaires, nichant dans une nacelle commune, comme dans le cas de la Mazda6. L'entrée d'air sous le bouclier rappelle, quant à lui, celui de la RX-8. Les versions de base ont une calandre noire faisant tout de même bonne figure, tandis que le modèle GT reçoit une calandre de couleur harmonisée avec celle de la carrosserie. La ligne latérale de la carrosserie est bien réussie, sauf que celle-ci se termine, tant sur la berline que sur la hatchback, de manière très abrupte, surtout sur la berline, où le couvercle du coffre est très court. Parlant de l'arrière, notons que deux modèles de feux arrière sont disponibles sur la berline; toutes les versions reçoivent un modèle rouge avec ouvertures blanches pour les lumières de recul. Ceux qui commandent le groupe GFX, disponible uniquement sur la GT, auront droit à des feux transparents, plus " à l'Européenne " que ceux de base. Pas moins de quatre types de roues sont proposés selon le modèle et le groupe choisi, soit des 15 pouces en acier avec enjoliveurs (faisant mauvaise mine), et des roues en alliage de 15, 16 et 17 pouces. Sur la voiture mise à l'essai, tous les panneaux, plastiques et autres artifices visuels étaient bien assemblés.
De l'intérieur
Si l'extérieur de la Mazda3 demeure tout de même assez ordinaire, force est d'admettre que l'intérieur démontre une nette amélioration face à celui de la Protegé. La rigueur d'assemblage, ainsi que la qualité des différents matériaux utilisés, sont toutes deux sans aucun reproche. Les sièges sont en tissu de bonne qualité, procurent un maintien latéral satisfaisant, et peuvent être ajustés en hauteur. La position de conduite s'avère très bonne, tout en procurant un confort permettant de faire de longs parcours sans se fatiguer. Les rangements sont en nombre suffisant; il y a même des vide-poches à l'arrière, lesquels ont une forme pouvant accueillir des bouteilles et ainsi servir de porte-gobelets. L'ergonomie se révèle assez bonne : les molettes pour régler la ventilation sont bien placées, tandis que les commandes de la chaîne audio sont disponibles en double. On peut ajuster le volume de la radio, changer les stations AM/FM et les pistes sur un CD à partir du volant. Cette manière d'opérer s'avère relativement facile, plus facile que d'utiliser les commandes montées sur la planche de bord, dont les témoins lumineux placés de chaque côté du bouton pour ajuster le volume sont franchement fatigants. Puisqu'on parle de la chaîne audio, celui-ci offre un très bon rendement, allié à un indicateur pratique monté sur le haut de la planche de bord. Celui-ci indique l'heure (en mode 24 heures, s'il vous plaît), le volume lorsqu'on ajuste celui-ci, la station de radio choisie ou la piste sélectionnée sur le CD, et les réglages du système de ventilation. Cet afficheur dit même bonjour aux occupants lorsque le moteur vient d'être démarré.