La capacité de chargement est toujours un sujet brûlant quand on parle de fourgonnettes, le consommateur croyant qu’il doit choisir entre équipement et passagers. Mazda estime que dans 99 % des cas, le propriétaire transporte soit de l’équipement, soit des passagers. Voici mon exemple : on ne trimballe pas cinq personnes avec nous quand on va faire l’épicerie, donc on peut parfaitement rabattre la troisième rangée. Si vous jouez au hockey, vous n’emmènerez que trois personnes avec vous puisque vous aurez besoin de la troisième rangée pour tout votre équipement. Bref, on s’adapte aux capacités du véhicule, et la Mazda5 est très polyvalente.
Une fois qu’on a réglé la question de la configuration et qu’on s’est glissé derrière le volant, la Mazda5 se comporte comme une agile voiture. La 5 est assez leste pour se fondre dans la circulation en ville, et les rétroviseurs sont assez grands pour nous préserver lorsqu’on se faufile d’une voie à l’autre à l’heure de pointe. La position des sièges fait en sorte qu’on n’est peut-être pas assis aussi haut que dans une fourgonnette pleine grandeur, mais assez pour qu’on ait tout de même une bonne vue de ce qui se passe autour de soi.
Lorsqu’on quitte la ville pour l’autoroute, il vaut mieux prévoir utiliser le régulateur de vitesse automatique. Rester en deçà de 110 km/h peut relever de l’exploit. Si vous relaxez et profitez du voyage, l’indicateur de vitesse montera beaucoup plus vite que vous ne l’auriez pensé. Par temps calme, pratiquement aucun bruit de vent ne se fait entendre dans le véhicule. Dans un fort vent de travers (plus de 30 km/h), on pourra discerner un léger bruit de vent lorsqu’on éteint la chaîne audio.
Là où la Mazda5 était vraiment amusante, c’était en virage. La fourgonnette avalait véritablement les rampes en forme de trèfle ainsi que les bretelles d’accélération. Elle n’est peut-être pas de la trempe d’une sportive, mais elle attaque sans conteste les courbes mieux qu’une fourgonnette type. En effet, elle est si enthousiaste que vous vous attirerez des réprimandes de vos passagers!
Mais le véritable bonheur de la Mazda5, c’est qu’elle n’attire pas l’attention, mais se conduit pourtant tellement bien. Personne ne m’a lancé un second regard : je n’étais qu’une fourgonnette parmi tant d’autres. Bref, si vous ne voulez pas attirer l’attention et désirez un véhicule sage comme une image qui saura tout de même vous faire sourire, il faut à tout prix essayer la Mazda5 GT.
photo:Charles Renny
Une fois qu’on a réglé la question de la configuration et qu’on s’est glissé derrière le volant, la Mazda5 se comporte comme une agile voiture. La 5 est assez leste pour se fondre dans la circulation en ville, et les rétroviseurs sont assez grands pour nous préserver lorsqu’on se faufile d’une voie à l’autre à l’heure de pointe. La position des sièges fait en sorte qu’on n’est peut-être pas assis aussi haut que dans une fourgonnette pleine grandeur, mais assez pour qu’on ait tout de même une bonne vue de ce qui se passe autour de soi.
Lorsqu’on quitte la ville pour l’autoroute, il vaut mieux prévoir utiliser le régulateur de vitesse automatique. Rester en deçà de 110 km/h peut relever de l’exploit. Si vous relaxez et profitez du voyage, l’indicateur de vitesse montera beaucoup plus vite que vous ne l’auriez pensé. Par temps calme, pratiquement aucun bruit de vent ne se fait entendre dans le véhicule. Dans un fort vent de travers (plus de 30 km/h), on pourra discerner un léger bruit de vent lorsqu’on éteint la chaîne audio.
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| Lorsqu'on se glisse derrière le volant, la Mazda5 se comporte comme une agile voiture. |
Là où la Mazda5 était vraiment amusante, c’était en virage. La fourgonnette avalait véritablement les rampes en forme de trèfle ainsi que les bretelles d’accélération. Elle n’est peut-être pas de la trempe d’une sportive, mais elle attaque sans conteste les courbes mieux qu’une fourgonnette type. En effet, elle est si enthousiaste que vous vous attirerez des réprimandes de vos passagers!
Mais le véritable bonheur de la Mazda5, c’est qu’elle n’attire pas l’attention, mais se conduit pourtant tellement bien. Personne ne m’a lancé un second regard : je n’étais qu’une fourgonnette parmi tant d’autres. Bref, si vous ne voulez pas attirer l’attention et désirez un véhicule sage comme une image qui saura tout de même vous faire sourire, il faut à tout prix essayer la Mazda5 GT.
photo:Charles Renny
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