Une motorisation divertissante
Est-ce que le propriétaire d'une berline de base avec moteur à quatre cylindres se soucie réellement de son agrément de conduite? En tout cas, Mazda s'est arrangé pour que la 6 ait beaucoup de caractère.
Son moteur de 2,3 litres développe 153 chevaux, ce qui est loin d'être la puissance la plus élevée dans la catégorie, mais il se montre très fringant, nerveux et étonnamment raffiné. Il s'accompagne d'une agréable mélodie jusqu'à ce que l'aiguille du tachymètre se rapproche de la zone de régime critique (6500 tr/min). Et avec le levier de vitesses solide et bien pesé, sans oublier la pédale d'embrayage ferme à point, la conduite est un véritable plaisir.
La consommation d'essence est respectable: j'ai obtenu une moyenne de 11 L/100 km par temps froid, et ce, après plusieurs centaines de kilomètres sur des routes plus ou moins clémentes du nord de l'Ontario. J'ai même dû affronter deux tempêtes de neige.
Sport, sport, sport
La Mazda6 Sport réussit à tenir la route assez bien pour être qualifiée de très agile et sportive. La direction m'a semblé un peu légère, mais elle entraîne rapidement les changements de cap désirés. L'adhérence est tenace et inspire confiance, mais elle sait aussi exciter au décollage en faisant preuve d'un agréable survirage.
Les freins, pour leur part, sont précis dans leur action et la sensation de la pédale est fantastique; ils réagissent très vite, avec puissance et sans faire de drame. Voilà une machine qui met clairement l'accent sur la conduite sportive.
Or, même avec les grandes roues de 17 pouces, j'ai trouvé que le roulement sur l'autoroute n'était pas inconfortable pour autant. Certes, il est ferme, mais on sent assez de douceur dans les coins pour demeurer confortable.
La Mazda6 Sport que j'ai testée attaquait la chaussée enneigée avec confiance grâce à d'excellents pneus d'hiver Pirelli au design agressif, sans parler bien sûr du système de contrôle de la traction qui réduit le patinage des roues au minimum.
Si vous recherchez un système antidérapage, un dispositif d'entrée et de démarrage intelligent ou encore une assistance au freinage d'urgence, il vous faudra trouver une autre berline. Mais si le divertissement au volant est votre priorité, vous avez sans contredit fait le bon choix.
Est-ce que le propriétaire d'une berline de base avec moteur à quatre cylindres se soucie réellement de son agrément de conduite? En tout cas, Mazda s'est arrangé pour que la 6 ait beaucoup de caractère.
Son moteur de 2,3 litres développe 153 chevaux, ce qui est loin d'être la puissance la plus élevée dans la catégorie, mais il se montre très fringant, nerveux et étonnamment raffiné. Il s'accompagne d'une agréable mélodie jusqu'à ce que l'aiguille du tachymètre se rapproche de la zone de régime critique (6500 tr/min). Et avec le levier de vitesses solide et bien pesé, sans oublier la pédale d'embrayage ferme à point, la conduite est un véritable plaisir.
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| Le moteur à quatre cylindres de 2,3 litres de la Mazda6 Sport 2008 développe 153 chevaux. |
La consommation d'essence est respectable: j'ai obtenu une moyenne de 11 L/100 km par temps froid, et ce, après plusieurs centaines de kilomètres sur des routes plus ou moins clémentes du nord de l'Ontario. J'ai même dû affronter deux tempêtes de neige.
Sport, sport, sport
La Mazda6 Sport réussit à tenir la route assez bien pour être qualifiée de très agile et sportive. La direction m'a semblé un peu légère, mais elle entraîne rapidement les changements de cap désirés. L'adhérence est tenace et inspire confiance, mais elle sait aussi exciter au décollage en faisant preuve d'un agréable survirage.
Les freins, pour leur part, sont précis dans leur action et la sensation de la pédale est fantastique; ils réagissent très vite, avec puissance et sans faire de drame. Voilà une machine qui met clairement l'accent sur la conduite sportive.
Or, même avec les grandes roues de 17 pouces, j'ai trouvé que le roulement sur l'autoroute n'était pas inconfortable pour autant. Certes, il est ferme, mais on sent assez de douceur dans les coins pour demeurer confortable.
La Mazda6 Sport que j'ai testée attaquait la chaussée enneigée avec confiance grâce à d'excellents pneus d'hiver Pirelli au design agressif, sans parler bien sûr du système de contrôle de la traction qui réduit le patinage des roues au minimum.
Si vous recherchez un système antidérapage, un dispositif d'entrée et de démarrage intelligent ou encore une assistance au freinage d'urgence, il vous faudra trouver une autre berline. Mais si le divertissement au volant est votre priorité, vous avez sans contredit fait le bon choix.
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| Les freins sont précis et puissants dans leur action et la sensation de la pédale est fantastique. |