Agile et douillette
Sur la route, la R 350 fait sans contredit penser à un yacht de luxe. Comme je l’ai mentionné plus haut, ma voiture comprenait l’ensemble Sport avec ses grosses jantes et sa suspension pneumatique adaptative AIRMATIC (et ses vitres teintées). Les admirateurs de Mercedes-Benz le savent, AIRMATIC est un dispositif décadent offrant un degré de confort insoupçonné. Ma R 350 BlueTEC flottait paisiblement au-dessus des vilains bouts de bitume accidenté.
Mais la R 350, c’est aussi une dynamique de conduite stable et maniable. Elle ne s’incline pas beaucoup en virage et suit nos directives. En fait, elle se conduit comme un véhicule beaucoup plus petit que ses cinq mètres et quelques.
Or, si vous cherchez une expérience interactive, il faudra regarder ailleurs, car la direction, bien que précise, ne semble pas reliée à la route. Définitivement un modèle pour se la couler douce!
Raffinements intérieurs
Évidemment, la carte maîtresse des modèles familiaux du genre est leur vaste habitacle. La deuxième rangée de la R 350 offre tout l’espace dont vous n’aurez jamais besoin, y compris un dégagement phénoménal pour les jambes. Les énormes portières arrière découvrent magnifiquement les banquettes aussi. Mais je me demande si, vu leur poids et leur longueur, les mousses auront de la misère à les ouvrir eux-mêmes?
Si vous êtes sept, trois devront s’asseoir dans la deuxième rangée et deux dans la troisième. Dans la deuxième rangée, la place du milieu fait la moitié de la largeur des deux autres… fonctionnelle, mais non opulente. Si vous n’avez pas besoin de ce siège central, vous pouvez opter pour deux trônes et une console centrale.
La troisième rangée peut même accueillir des adultes de taille moyenne, mais je ne pense pas qu’ils voudront y passer trop de temps. On est en effet un peu à l’étroit. Et il faut faire preuve d’une certaine agilité pour y accéder, même si les grandes portières facilitent la tâche.
Les rangées et l’espace de chargement s’adaptent facilement. On peut rabattre individuellement tous les sièges arrière (assez) aisément une fois qu’on sait comment s’y prendre. En tout et partout, on peut obtenir une véritable caverne de 2 385 litres. Et même quand tous les sièges sont bien droits, la Classe R propose un coffre très fonctionnel. Mais contrairement à certaines de ses rivales, elle n’offre pas l’option de sièges arrière électriques.
Pour couronner le tout, la suspension pneumatique autonivellante à l’arrière devrait stabiliser le véhicule lorsqu’il est plein.
Sur la route, la R 350 fait sans contredit penser à un yacht de luxe. Comme je l’ai mentionné plus haut, ma voiture comprenait l’ensemble Sport avec ses grosses jantes et sa suspension pneumatique adaptative AIRMATIC (et ses vitres teintées). Les admirateurs de Mercedes-Benz le savent, AIRMATIC est un dispositif décadent offrant un degré de confort insoupçonné. Ma R 350 BlueTEC flottait paisiblement au-dessus des vilains bouts de bitume accidenté.
Mais la R 350, c’est aussi une dynamique de conduite stable et maniable. Elle ne s’incline pas beaucoup en virage et suit nos directives. En fait, elle se conduit comme un véhicule beaucoup plus petit que ses cinq mètres et quelques.
Or, si vous cherchez une expérience interactive, il faudra regarder ailleurs, car la direction, bien que précise, ne semble pas reliée à la route. Définitivement un modèle pour se la couler douce!
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| La deuxième rangée de la R 350 offre tout l’espace dont vous n’aurez jamais besoin, y compris un dégagement phénoménal pour les jambes. (Photo: Mike Goetz/Auto123.com) |
Raffinements intérieurs
Évidemment, la carte maîtresse des modèles familiaux du genre est leur vaste habitacle. La deuxième rangée de la R 350 offre tout l’espace dont vous n’aurez jamais besoin, y compris un dégagement phénoménal pour les jambes. Les énormes portières arrière découvrent magnifiquement les banquettes aussi. Mais je me demande si, vu leur poids et leur longueur, les mousses auront de la misère à les ouvrir eux-mêmes?
Si vous êtes sept, trois devront s’asseoir dans la deuxième rangée et deux dans la troisième. Dans la deuxième rangée, la place du milieu fait la moitié de la largeur des deux autres… fonctionnelle, mais non opulente. Si vous n’avez pas besoin de ce siège central, vous pouvez opter pour deux trônes et une console centrale.
La troisième rangée peut même accueillir des adultes de taille moyenne, mais je ne pense pas qu’ils voudront y passer trop de temps. On est en effet un peu à l’étroit. Et il faut faire preuve d’une certaine agilité pour y accéder, même si les grandes portières facilitent la tâche.
Les rangées et l’espace de chargement s’adaptent facilement. On peut rabattre individuellement tous les sièges arrière (assez) aisément une fois qu’on sait comment s’y prendre. En tout et partout, on peut obtenir une véritable caverne de 2 385 litres. Et même quand tous les sièges sont bien droits, la Classe R propose un coffre très fonctionnel. Mais contrairement à certaines de ses rivales, elle n’offre pas l’option de sièges arrière électriques.
Pour couronner le tout, la suspension pneumatique autonivellante à l’arrière devrait stabiliser le véhicule lorsqu’il est plein.
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| On peut rabattre individuellement tous les sièges arrière aisément et en tout et partout, on peut obtenir une véritable caverne de 2 385 litres. (Photo: Mike Goetz/Auto123.com) |