Grâce à une légère structure spatiale en aluminium, le roadster ne pèse que 40 kg de plus que le coupé, mais il semble tout aussi rigide, une gracieuseté de renforts supplémentaires en carbone et en acier. Étonnamment, il égale le chrono 0-100 km/h de 3,9 secondes du coupé aussi, tout en livrant une consommation marginalement inférieure, soit 13,2 litres aux 100 km.
Côté suspension, on trouve entre autres le système Ride Control d’AMG avec son amortissement adaptatif et ses trois réglages. En ville, nous déambulons tranquillement en mode Confort, mais une fois sur la route nous passons définitivement au mode Sport. Ce dernier présente des réglages un tantinet trop fermes pour la conduite décontractée, mais il prend tout son sens lors de sorties fougueuses. La voiture devient ainsi nettement plus précise, souffrant moins de roulis dans les virages.
Dans les Alpes, nous montons vers les nuages en enchaînant les virages en lacet. Ces routes, comme la piste, sont tout indiquées pour le mode Sport Plus. La suspension raffermie rappelle une gâchette, et la voiture demeure bien plantée dans les coins serrés. Voici une voiture qui ne demande qu’à être poussée; accroupie, vrombissante, elle nous défie d’aller plus vite. Heureusement, des freins en céramique-carbone (optionnels) gros comme des assiettes s’affairent aux quatre coins, et quand on leur demande d’arrêter, croyez-moi qu’ils arrêtent. Il faut apprivoiser ces freins sensibles, toutefois, eux qui savent calmer les ardeurs de la bête et l’immobilisent en un clin d’œil.
Le système AMG Performance Media, accessible par l’écran de navigation, ravira les amateurs de performances sur circuit. En gros, il ajoute des instruments numériques qui affichent les temps de piste, la force G latérale, le rendement du moteur et les performances des freins.
À la fin de la journée, nous avons remis notre SLS AMG Roadster, de façon tout à fait appropriée, dans un quai privé du port de Monaco. Entouré de yachts, il semblait dans son élément.
Alors, coupé ou roadster? Comme l’éternelle question du chien contre le chat, on parle de préférences personnelles. Certes, le roadster ne sacrifie en rien les performances brutes de son frère à toit rigide, et il saura satisfaire les hédonistes parmi nous.
Le SLS AMG Roadster débarquera au Canada à la fin de l’automne. On n’en a pas encore annoncé le prix, mais il coûtera vraisemblablement un peu plus cher que le coupé.
Côté suspension, on trouve entre autres le système Ride Control d’AMG avec son amortissement adaptatif et ses trois réglages. En ville, nous déambulons tranquillement en mode Confort, mais une fois sur la route nous passons définitivement au mode Sport. Ce dernier présente des réglages un tantinet trop fermes pour la conduite décontractée, mais il prend tout son sens lors de sorties fougueuses. La voiture devient ainsi nettement plus précise, souffrant moins de roulis dans les virages.
Dans les Alpes, nous montons vers les nuages en enchaînant les virages en lacet. Ces routes, comme la piste, sont tout indiquées pour le mode Sport Plus. La suspension raffermie rappelle une gâchette, et la voiture demeure bien plantée dans les coins serrés. Voici une voiture qui ne demande qu’à être poussée; accroupie, vrombissante, elle nous défie d’aller plus vite. Heureusement, des freins en céramique-carbone (optionnels) gros comme des assiettes s’affairent aux quatre coins, et quand on leur demande d’arrêter, croyez-moi qu’ils arrêtent. Il faut apprivoiser ces freins sensibles, toutefois, eux qui savent calmer les ardeurs de la bête et l’immobilisent en un clin d’œil.
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| Le roadster ne sacrifie en rien les performances brutes de son frère à toit rigide, et il saura satisfaire les hédonistes parmi nous. (Photo: Lesley Wimbush/Auto123.com) |
Le système AMG Performance Media, accessible par l’écran de navigation, ravira les amateurs de performances sur circuit. En gros, il ajoute des instruments numériques qui affichent les temps de piste, la force G latérale, le rendement du moteur et les performances des freins.
À la fin de la journée, nous avons remis notre SLS AMG Roadster, de façon tout à fait appropriée, dans un quai privé du port de Monaco. Entouré de yachts, il semblait dans son élément.
Alors, coupé ou roadster? Comme l’éternelle question du chien contre le chat, on parle de préférences personnelles. Certes, le roadster ne sacrifie en rien les performances brutes de son frère à toit rigide, et il saura satisfaire les hédonistes parmi nous.
Le SLS AMG Roadster débarquera au Canada à la fin de l’automne. On n’en a pas encore annoncé le prix, mais il coûtera vraisemblablement un peu plus cher que le coupé.
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