Héritage préservé
N'allez surtout pas croire que l'agrément de conduite souffre des bonnes manières de cette petite bombe. Bien servie par une direction ferme et ultra-précise, la Cooper S brille par son agilité, sa maniabilité et sa tenue de route sportive. Comme un kart, elle « tourne carré », si vous me permettez l'expression, et ne laisse entrevoir un début de sous-virage que si on la pousse à l'extrême. De toute façon, elle aura eu, au préalable, la délicatesse de prévenir le conducteur qu'elle a atteint sa limite par un début de glissement de l'avant. Pas de réactions imprévisibles, donc.
Encore une fois, certains puristes l'auraient voulu moins docile, plus pointue à piloter ; mais les responsables du Marketing de BMW - pardon, MINI - leur rétorqueront qu'il y a des options conçues pour cela (dont des jantes de 17 pouces). Et puis, ça se modifie, une MINI ; parions que les accessoiristes spécialisés se bousculent déjà au portillon !
Mais surtout, il convient de saluer l'approche des dirigeants de la division MINI, qui ont su faire revivre une légende tout en concevant un véhicule parfaitement adapté à son époque. Dans le cas de la Cooper S, la tâche était d'autant plus ardue que la première du nom possédait un riche palmarès en compétition. Outre ses nombreux exploits sur les circuits du monde entier, il faut ajouter ses 22 victoires en Championnat du monde des rallyes, dont trois au prestigieux Monte-Carlo, dans les mains expertes de l'Irlandais Paddy Hopkirk et du Finlandais Rauno Aaltonen.
Le légendaire John Cooper, qui construisit les premières monoplaces de F1 à moteur arrière et transforma la coquette Mini en une redoutable « bombinette », peut dormir en paix : chez BMW, on respecte le patrimoine.
L'ESSENTIEL...
N'allez surtout pas croire que l'agrément de conduite souffre des bonnes manières de cette petite bombe. Bien servie par une direction ferme et ultra-précise, la Cooper S brille par son agilité, sa maniabilité et sa tenue de route sportive. Comme un kart, elle « tourne carré », si vous me permettez l'expression, et ne laisse entrevoir un début de sous-virage que si on la pousse à l'extrême. De toute façon, elle aura eu, au préalable, la délicatesse de prévenir le conducteur qu'elle a atteint sa limite par un début de glissement de l'avant. Pas de réactions imprévisibles, donc.
Encore une fois, certains puristes l'auraient voulu moins docile, plus pointue à piloter ; mais les responsables du Marketing de BMW - pardon, MINI - leur rétorqueront qu'il y a des options conçues pour cela (dont des jantes de 17 pouces). Et puis, ça se modifie, une MINI ; parions que les accessoiristes spécialisés se bousculent déjà au portillon !
Mais surtout, il convient de saluer l'approche des dirigeants de la division MINI, qui ont su faire revivre une légende tout en concevant un véhicule parfaitement adapté à son époque. Dans le cas de la Cooper S, la tâche était d'autant plus ardue que la première du nom possédait un riche palmarès en compétition. Outre ses nombreux exploits sur les circuits du monde entier, il faut ajouter ses 22 victoires en Championnat du monde des rallyes, dont trois au prestigieux Monte-Carlo, dans les mains expertes de l'Irlandais Paddy Hopkirk et du Finlandais Rauno Aaltonen.
Le légendaire John Cooper, qui construisit les premières monoplaces de F1 à moteur arrière et transforma la coquette Mini en une redoutable « bombinette », peut dormir en paix : chez BMW, on respecte le patrimoine.
L'ESSENTIEL...
- Moteur : 4 cyl. de 1,6 L (163 chevaux)
- Roues motrices : avant
- Prix : 29 600 $
- 2 concessionnaires MINI au Québec