Évidemment, la conduite prédomine toujours; la voiture doit livrer un bon rendement dans une variété de conditions et de situations. Seul à bord, j’ai pu conduire un peu plus agressivement qu’avec la famille. Lors de virages secs, le siège du conducteur me fournissait beaucoup d’appui et minimisait les mouvements de mon corps. La Lancer, pendant ce temps, ne souffrait pas d’un roulis de caisse important, même quand on la compare à une Lancer Evo. Ceci étant dit, ne mélangez surtout pas ces deux voitures; la Sportback est loin d’être faite pour rouler à fond comme une Evo.
Contrôler manuellement la transmission était nettement plus amusant que la laisser en mode automatique. Eh oui, Mitsubishi a incorporé des «rapports» prédéfinis dans cette boîte, de sorte qu’en tirant sur les palettes au volant, on peut sentir un changement de rapport s’opérer. Cette façon de faire nous permet également de jouer avec le régime du moteur et de nous sentir plus impliqué dans la conduite.
Sur l’autoroute, la Lancer Sportback s’est avérée pas mal silencieuse, l’essentiel du bruit provenant du contact avec la chaussée. Ceci dit, la voiture a roulé sur les bosses, les petits nids-de-poule et les fissures scellées sans que le bruit des pneus ne devienne envahissant.
En ville, le moteur atmosphérique de 168 chevaux me permettait de changer de voie avec une aisance surprenante. Les miroirs de bonne dimension et les angles morts réduits m’ont aussi aidé à ce niveau, tout comme la direction légère et l’accélérateur sensible.
La Sportback recule dans les espaces de stationnement sans problème et en ressort tout aussi facilement (merci aux grandes vitres latérales!). J’ai dû m’ajuster quelque peu au moment de me stationner en parallèle, mais les côtés relativement plats et le derrière tronqué de la voiture contribuaient chaque fois à limiter mes tentatives.
Enfin, si la Lancer Sportback a un défaut à l’intérieur, il se situe au niveau de l’affichage des informations difficiles à lire en plein soleil, notamment le petit écran de la radio au sommet du bloc central. Toutefois, en changeant mes lunettes soleil pour une paire de meilleure qualité, la situation s’est drôlement améliorée et la conduite est devenue beaucoup plus agréable.
photo:Charles Renny
Contrôler manuellement la transmission était nettement plus amusant que la laisser en mode automatique. Eh oui, Mitsubishi a incorporé des «rapports» prédéfinis dans cette boîte, de sorte qu’en tirant sur les palettes au volant, on peut sentir un changement de rapport s’opérer. Cette façon de faire nous permet également de jouer avec le régime du moteur et de nous sentir plus impliqué dans la conduite.
En ville, le moteur atmosphérique de 168 chevaux me permettait de changer de voie avec une aisance surprenante. |
Sur l’autoroute, la Lancer Sportback s’est avérée pas mal silencieuse, l’essentiel du bruit provenant du contact avec la chaussée. Ceci dit, la voiture a roulé sur les bosses, les petits nids-de-poule et les fissures scellées sans que le bruit des pneus ne devienne envahissant.
En ville, le moteur atmosphérique de 168 chevaux me permettait de changer de voie avec une aisance surprenante. Les miroirs de bonne dimension et les angles morts réduits m’ont aussi aidé à ce niveau, tout comme la direction légère et l’accélérateur sensible.
La Sportback recule dans les espaces de stationnement sans problème et en ressort tout aussi facilement (merci aux grandes vitres latérales!). J’ai dû m’ajuster quelque peu au moment de me stationner en parallèle, mais les côtés relativement plats et le derrière tronqué de la voiture contribuaient chaque fois à limiter mes tentatives.
Enfin, si la Lancer Sportback a un défaut à l’intérieur, il se situe au niveau de l’affichage des informations difficiles à lire en plein soleil, notamment le petit écran de la radio au sommet du bloc central. Toutefois, en changeant mes lunettes soleil pour une paire de meilleure qualité, la situation s’est drôlement améliorée et la conduite est devenue beaucoup plus agréable.
photo:Charles Renny