La forte inclinaison de la lunette du hayon, impose une visibilité aléatoire aux angles morts ¾ arrière. L’aire de chargement convient très bien ainsi que l’espace pour quatre personnes à bord.
Le rallye sous le capot
Mécaniquement parlant, la gamme Ralliart n’a absolument rien à envier à la compétition. Le moteur quatre cylindres en aluminium de 2.0 litres avec turbocompresseur développe 237 chevaux et 253 lb/pi de couple. Un moteur super efficace, annexé à toutes les autres composantes mécaniques, et on se retrouve avec une voiture vraiment performante.
Bien que ce ne soit pas aussi extrême que les versions Evolution, on en reprend certaines composantes qui font littéralement exploser les capacités de la voiture. Ici, je parle de la transmission à double embrayage semi-automatique Sportronic à six rapports de la version MR. La présélection des rapports augmente la rapidité et l'efficacité d’exécution.
Pour dire à quel point cette transmission est évoluée, la semaine précédant l’essai de la Sportback, je roulais une Porsche Cayman avec la transmission PDK et j’ai préféré de loin celle de la Lancer.
Bien que ce soit un véritable jouet, cette Lancer demeure très pratique en tout temps. Elle bénéficie d’une excellente traction intégrale dont on peut sélectionner le mode. On a le choix entre Chaussée, Gravier et Neige. Le niveau d’ajustement maximise la traction tout en modifiant l’apport du couple au différentiel.
La tenue de route se révèle spectaculaire. La voiture offre l’équilibre grâce à une bonne répartition des masses. De plus la suspension possède le juste milieu entre fermeté et souplesse, ce qui maintient la voiture très stable en conduite agressive.
Tout cela ne serait rien sans une bonne direction, et celle de la Ralliart excelle. Toujours très directe, elle s’attaque aux virages et aux accélérations sans même broncher. Elle démontre en permanence une grande agilité rendant la voiture encore plus agréable et facile à conduire.
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| Le moteur quatre cylindres en aluminium de 2.0 litres développe 237 chevaux et 253 lb/pi de couple. |
Le rallye sous le capot
Mécaniquement parlant, la gamme Ralliart n’a absolument rien à envier à la compétition. Le moteur quatre cylindres en aluminium de 2.0 litres avec turbocompresseur développe 237 chevaux et 253 lb/pi de couple. Un moteur super efficace, annexé à toutes les autres composantes mécaniques, et on se retrouve avec une voiture vraiment performante.
Bien que ce ne soit pas aussi extrême que les versions Evolution, on en reprend certaines composantes qui font littéralement exploser les capacités de la voiture. Ici, je parle de la transmission à double embrayage semi-automatique Sportronic à six rapports de la version MR. La présélection des rapports augmente la rapidité et l'efficacité d’exécution.
Pour dire à quel point cette transmission est évoluée, la semaine précédant l’essai de la Sportback, je roulais une Porsche Cayman avec la transmission PDK et j’ai préféré de loin celle de la Lancer.
Bien que ce soit un véritable jouet, cette Lancer demeure très pratique en tout temps. Elle bénéficie d’une excellente traction intégrale dont on peut sélectionner le mode. On a le choix entre Chaussée, Gravier et Neige. Le niveau d’ajustement maximise la traction tout en modifiant l’apport du couple au différentiel.
La tenue de route se révèle spectaculaire. La voiture offre l’équilibre grâce à une bonne répartition des masses. De plus la suspension possède le juste milieu entre fermeté et souplesse, ce qui maintient la voiture très stable en conduite agressive.
Tout cela ne serait rien sans une bonne direction, et celle de la Ralliart excelle. Toujours très directe, elle s’attaque aux virages et aux accélérations sans même broncher. Elle démontre en permanence une grande agilité rendant la voiture encore plus agréable et facile à conduire.
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| La Mitsubishi Lancer Sportback Ralliart débute quant à elle à 33 498 $. |







