Voici un prototype croustillant. Dévoilée pour la première fois au Salon de Genève 2010, la SR1 est l’un est des concepts les mieux proportionnés que nous n’ayons jamais vu. Même si la faisabilité de production est basse, surtout vu l’arrivée de la RCZ, la SR1 demeure néanmoins un superbe exercice de conception.
En plus de signaler un changement de cap futur pour le groupe PSA (Peugeot-Citroën), la SR1 sert de banc d’essai, plus ou moins, pour de nouvelles idées mécaniques. La décapotable est animée par un quatre-cylindres de 1,6 litre et 218 ch allié à un moteur électrique arrière de 95 ch. Fonctionnant tous deux à pleine capacité, ils génèrent ensemble 313 ch. Et vu que les deux moteurs entraînent des paires de roues différentes, la SR1 est un modèle à TI.
Comme c’est le cas de bien des hybrides, la SR1 est un VE à part entière lorsqu’animée uniquement par le moteur électrique. Lorsque le moteur à combustion interne embarque, la voiture consommera aussi peu que 4,9 L/100 km et ne produira que 119 g/km de CO2.
Côté esthétique, la SR1 présente des éléments de grand tourisme classiques, dont des ailes fluides, un grand capot et un centre de gravité bas.
Le toit rigide se fond parfaitement à la carrosserie de la SR1 et fait aussi belle figure en place comme rétracté. Il est construit selon une technique de préformage empruntée du domaine nautique.
L’habitacle enveloppant enchâsse 2+1 sièges : cette décapotable frise le roadster. Avec une présentation presque futuriste avançant une pointe du traditionnel, l’habitacle de la SR1 est un cocktail de cuirs, de boiseries et de matériaux sophistiqués, dont le nickel et le chrome satiné.
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| Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com |
En plus de signaler un changement de cap futur pour le groupe PSA (Peugeot-Citroën), la SR1 sert de banc d’essai, plus ou moins, pour de nouvelles idées mécaniques. La décapotable est animée par un quatre-cylindres de 1,6 litre et 218 ch allié à un moteur électrique arrière de 95 ch. Fonctionnant tous deux à pleine capacité, ils génèrent ensemble 313 ch. Et vu que les deux moteurs entraînent des paires de roues différentes, la SR1 est un modèle à TI.
Comme c’est le cas de bien des hybrides, la SR1 est un VE à part entière lorsqu’animée uniquement par le moteur électrique. Lorsque le moteur à combustion interne embarque, la voiture consommera aussi peu que 4,9 L/100 km et ne produira que 119 g/km de CO2.
Côté esthétique, la SR1 présente des éléments de grand tourisme classiques, dont des ailes fluides, un grand capot et un centre de gravité bas.
Le toit rigide se fond parfaitement à la carrosserie de la SR1 et fait aussi belle figure en place comme rétracté. Il est construit selon une technique de préformage empruntée du domaine nautique.
L’habitacle enveloppant enchâsse 2+1 sièges : cette décapotable frise le roadster. Avec une présentation presque futuriste avançant une pointe du traditionnel, l’habitacle de la SR1 est un cocktail de cuirs, de boiseries et de matériaux sophistiqués, dont le nickel et le chrome satiné.
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| Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com |
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