Performances superbes
Je dis « superbes » parce qu'elles le sont : certes, la Boxster n'a pas le dynamisme d'une version Boxster S ou d'une Cayman S, mais elle nous le rend avec sa consommation de carburant raisonnable pour un 6-cylindres à plat : 11,37 litres aux 100 kilomètres. Et j'ai déjà fait mieux (10 L aux 100 km) en conduisant doucement.
La Boxster n'a pas à rougir de ses accélérations : 0 à 100 km/h en 6,7 secondes. Les dépassements (de 80 à 120 km/h) peuvent se faire en moins de 5 secondes si on utilise les deuxième et troisième rapports (4,9 par rapport à 5,5 sur le troisième rapport).
Ce qu'il faut retenir de la Boxster, c'est qu'il faut monter les régimes pour profiter de toute sa puissance, alors que les versions plus performantes possèdent plus de couple à bas régime. À mon avis, la Boxster en possède suffisamment pour un usage au quotidien et pour s'amuser pleinement.
Prévisible et sûre
Cette Porsche ne vous désarmera pas et ne vous surprendra pas. Elle est un charme à conduire. Son embrayage est souple, et la course du levier correspond à ce qu'on attend d'une sportive. Son système de contrôle de stabilité (le PSM) n'entre en jeu que si vous poussez trop fort la voiture. Autrement, il vous laisse conduire même sportivement cette voiture. On peut la jeter en courbe et, en tenant les régimes élevés, on peut sortir d'un virage à la vitesse idéale.
Avec Porsche, ça freine à coup sûr : 30,4 mètres, en moyenne, pour immobiliser la voiture de 100 à 0 km/h. Je ne me lasse pas de la conduire.
À quand un 4-cylindres ?
Martin Constien a fait des miracles avec ce nouveau moteur et a réussi à en réduire la consommation de carburant. Certes, le prix du carburant met un bémol sur ce commentaire, mais c'est avant tout ma connaissance du génie de Porsche qui m'amène à espérer un retour au boxer à 4 cylindres.
Bien qu'on souligne l'anniversaire des RS718 cette année avec une édition spéciale de la Boxster, la RS60, ces voitures, les RS718, possédaient un 4-cylindres à plat de 1700 cc qui développaient 148 chevaux : elles ont été les reines des courses de côtes et des circuits pendant des années, sans parler de toutes ces Carrera et Spyder...
Alors, quand on possède un tel génie, pourquoi ne pas l'exploiter ?
photo:Philippe Champoux
Je dis « superbes » parce qu'elles le sont : certes, la Boxster n'a pas le dynamisme d'une version Boxster S ou d'une Cayman S, mais elle nous le rend avec sa consommation de carburant raisonnable pour un 6-cylindres à plat : 11,37 litres aux 100 kilomètres. Et j'ai déjà fait mieux (10 L aux 100 km) en conduisant doucement.
La Boxster n'a pas à rougir de ses accélérations : 0 à 100 km/h en 6,7 secondes. Les dépassements (de 80 à 120 km/h) peuvent se faire en moins de 5 secondes si on utilise les deuxième et troisième rapports (4,9 par rapport à 5,5 sur le troisième rapport).
Ce qu'il faut retenir de la Boxster, c'est qu'il faut monter les régimes pour profiter de toute sa puissance, alors que les versions plus performantes possèdent plus de couple à bas régime. À mon avis, la Boxster en possède suffisamment pour un usage au quotidien et pour s'amuser pleinement.
 |
| Ce qu'il faut retenir de la Boxster, c'est qu'il faut monter les régimes pour profiter de toute sa puissance. |
Prévisible et sûre
Cette Porsche ne vous désarmera pas et ne vous surprendra pas. Elle est un charme à conduire. Son embrayage est souple, et la course du levier correspond à ce qu'on attend d'une sportive. Son système de contrôle de stabilité (le PSM) n'entre en jeu que si vous poussez trop fort la voiture. Autrement, il vous laisse conduire même sportivement cette voiture. On peut la jeter en courbe et, en tenant les régimes élevés, on peut sortir d'un virage à la vitesse idéale.
Avec Porsche, ça freine à coup sûr : 30,4 mètres, en moyenne, pour immobiliser la voiture de 100 à 0 km/h. Je ne me lasse pas de la conduire.
À quand un 4-cylindres ?
Martin Constien a fait des miracles avec ce nouveau moteur et a réussi à en réduire la consommation de carburant. Certes, le prix du carburant met un bémol sur ce commentaire, mais c'est avant tout ma connaissance du génie de Porsche qui m'amène à espérer un retour au boxer à 4 cylindres.
Bien qu'on souligne l'anniversaire des RS718 cette année avec une édition spéciale de la Boxster, la RS60, ces voitures, les RS718, possédaient un 4-cylindres à plat de 1700 cc qui développaient 148 chevaux : elles ont été les reines des courses de côtes et des circuits pendant des années, sans parler de toutes ces Carrera et Spyder...
Alors, quand on possède un tel génie, pourquoi ne pas l'exploiter ?
photo:Philippe Champoux
Gallerie de l'article