Heureusement, par contre, qu'on ne m'a pas forcé à passer des heures sur la banquette arrière, car le dégagement pour les jambes est bien en deçà de la moyenne de la catégorie. Si quatre adultes prennent place dans la 9-3, des sacrifices majeurs devront être faits, soit à l'avant (en glissant les sièges) ou à l'arrière (en devenant une momie). Au moins, le coffre qui se trouve derrière est pratique et facile d'accès grâce à une large ouverture.
Corps d'athlète
La Saab 9-3 que j'ai testée renfermait le moteur de série le plus puissant dans toute l'histoire de la compagnie, à savoir un V6 turbocompressé de 2,8 litres à double arbre à cames en tête qui développe 280 chevaux à 5000 tours/minute. Le tout est appuyé par un couple de 295 livres-pied dès 1900 tours/minute.
Cette énergie prodigieuse est contrôlée, au choix, par une boîte manuelle ou automatique à six rapports. Je disposais de la seconde qui, à ma grande joie, offrait également un mode manuel Sentronic assorti de sélecteurs au volant pour des changements de rapport ultra rapides.
Tel que mentionné plus tôt, la 9-3 XWD est entraînée avec brio par ses quatre roues. Son système de traction intégrale inédit est capable de varier le couple disponible non seulement entre les roues avant et arrière mais aussi entre les roues gauches et droites, tout dépendant des besoins de traction. Ce qui est génial, c'est que le système aide à prévenir les dérapages au lieu de réagir quand ils surviennent.
Comportement routier
On abaisse la main, on tourne la clé et le méchant V6 de Saab se réveille. Malgré sa faible cylindrée, ce moteur se veut des plus fougueux, sans parler de sa douceur et de son raffinement. En enfonçant l'accélérateur, il nous envoûte tout en gardant la bonne mesure. Plus il grimpe dans les tours, plus les poussées sont énergiques, même si on ne ressent pas les explosions propres aux moteurs turbos. Les accélérations et les reprises sont généralement très vives.
L'abondance de couple à bas régime agrémente considérablement la conduite et la performance. Rarement le moteur doit-il effectuer plusieurs milliers de tours par minute pour permettre à la voiture de garder le rythme dans le trafic ou de surmonter une côte abrupte. Par ailleurs, un bouton sur le tableau de bord active le mode Sport, qui altère la programmation de la boîte de vitesses et ainsi privilégie la performance au détriment de l'efficacité énergétique. En gros, la transmission maintient les rapports plus longtemps et, lorsqu'elle doit rétrograder, elle le fait plus rapidement.
Corps d'athlète
La Saab 9-3 que j'ai testée renfermait le moteur de série le plus puissant dans toute l'histoire de la compagnie, à savoir un V6 turbocompressé de 2,8 litres à double arbre à cames en tête qui développe 280 chevaux à 5000 tours/minute. Le tout est appuyé par un couple de 295 livres-pied dès 1900 tours/minute.
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| Le moteur développe 280 chevaux appuyés par un couple de 295 livres-pied. |
Cette énergie prodigieuse est contrôlée, au choix, par une boîte manuelle ou automatique à six rapports. Je disposais de la seconde qui, à ma grande joie, offrait également un mode manuel Sentronic assorti de sélecteurs au volant pour des changements de rapport ultra rapides.
Tel que mentionné plus tôt, la 9-3 XWD est entraînée avec brio par ses quatre roues. Son système de traction intégrale inédit est capable de varier le couple disponible non seulement entre les roues avant et arrière mais aussi entre les roues gauches et droites, tout dépendant des besoins de traction. Ce qui est génial, c'est que le système aide à prévenir les dérapages au lieu de réagir quand ils surviennent.
Comportement routier
On abaisse la main, on tourne la clé et le méchant V6 de Saab se réveille. Malgré sa faible cylindrée, ce moteur se veut des plus fougueux, sans parler de sa douceur et de son raffinement. En enfonçant l'accélérateur, il nous envoûte tout en gardant la bonne mesure. Plus il grimpe dans les tours, plus les poussées sont énergiques, même si on ne ressent pas les explosions propres aux moteurs turbos. Les accélérations et les reprises sont généralement très vives.
L'abondance de couple à bas régime agrémente considérablement la conduite et la performance. Rarement le moteur doit-il effectuer plusieurs milliers de tours par minute pour permettre à la voiture de garder le rythme dans le trafic ou de surmonter une côte abrupte. Par ailleurs, un bouton sur le tableau de bord active le mode Sport, qui altère la programmation de la boîte de vitesses et ainsi privilégie la performance au détriment de l'efficacité énergétique. En gros, la transmission maintient les rapports plus longtemps et, lorsqu'elle doit rétrograder, elle le fait plus rapidement.
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| La 9-3 XWD est entraînée avec brio par ses quatre roues. |