L’impression d’espace est assurée par l’énorme toit vitré. Toutefois, la notion d’espace s’éteint avec deux personnes à bord. Le coffre s’apparente plus à une sacoche qu’à autre chose tant il est… inexistant. Pour une petite épicerie c’est bien, mais ne pensez pas amener votre ami jouer au golf, votre sac est à sa place.
Go-kart de course
Le moteur de la smart BRABUS est le même que dans les versions régulières, ce qui est étonnant puisque BRABUS transforme habituellement les Mercedes-Benz en véritables monstres de performance. En Amérique du Nord, du moins, on se retrouve donc avec le petit moteur de trois cylindres à essence à aspiration naturelle de 70 chevaux développant 68 lb-pi de couple dont l’économie de carburant se situe à 5,4 L/100km.
Évidemment, on ne fait pas le 0-100 en trois secondes, mais considérant la petitesse de la smart, le travail se fait bien. On peut même avoir des contraventions si on se laisse aller. Ce qui frappe le plus du moteur à la mise du contact c’est le bruit. Dès que l’on tourne la clé dans la console entre les passagers, le ronron ou grondement, se fait entendre.
L’isolation générale n’est pas le point fort de la smart, les bruits moteurs et éoliens sont permanents. Durant l’essai, j’ai observé jusqu’à 93 décibels de bruits intrusifs.
Parlant de vent, il faut mentionner que la smart a une sainte horreur des vents latéraux. Durant un bref séjour dans la vieille capitale, elle n’a fait que me rappeler sa vocation citadine à l’abri des grands vents. En ville, on ne peut se soustraire au plaisir de conduite qu’elle offre. La voiture, avec un diamètre de braquage presque inexistant, se faufile partout et comme on dit, elle vire sur un 10 cents.
La direction est très directe, donc les virages sont une vraie partie de plaisir. Le confort de roulement en ville est surprenant, meilleur que dans mon souvenir, quoique sur l’autoroute, la conduite devient presque désagréable. Le système de freins est très bon, on sent bien le pédalier.
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| Le coffre s’apparente plus à une sacoche qu’à autre chose tant il est… inexistant. |
Go-kart de course
Le moteur de la smart BRABUS est le même que dans les versions régulières, ce qui est étonnant puisque BRABUS transforme habituellement les Mercedes-Benz en véritables monstres de performance. En Amérique du Nord, du moins, on se retrouve donc avec le petit moteur de trois cylindres à essence à aspiration naturelle de 70 chevaux développant 68 lb-pi de couple dont l’économie de carburant se situe à 5,4 L/100km.
Évidemment, on ne fait pas le 0-100 en trois secondes, mais considérant la petitesse de la smart, le travail se fait bien. On peut même avoir des contraventions si on se laisse aller. Ce qui frappe le plus du moteur à la mise du contact c’est le bruit. Dès que l’on tourne la clé dans la console entre les passagers, le ronron ou grondement, se fait entendre.
L’isolation générale n’est pas le point fort de la smart, les bruits moteurs et éoliens sont permanents. Durant l’essai, j’ai observé jusqu’à 93 décibels de bruits intrusifs.
Parlant de vent, il faut mentionner que la smart a une sainte horreur des vents latéraux. Durant un bref séjour dans la vieille capitale, elle n’a fait que me rappeler sa vocation citadine à l’abri des grands vents. En ville, on ne peut se soustraire au plaisir de conduite qu’elle offre. La voiture, avec un diamètre de braquage presque inexistant, se faufile partout et comme on dit, elle vire sur un 10 cents.
La direction est très directe, donc les virages sont une vraie partie de plaisir. Le confort de roulement en ville est surprenant, meilleur que dans mon souvenir, quoique sur l’autoroute, la conduite devient presque désagréable. Le système de freins est très bon, on sent bien le pédalier.
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| La direction est très directe, donc les virages sont une vraie partie de plaisir. |