Les plaintes courantes s’articulent autour de l’espace : petit coffre, absence de sièges arrière et rangement limité à portée de la main. Les gros gabarits n’y seront pas à l’aise non plus. En outre, le MR2 est quelque peu bruyant et sa suspension est relativement brusque, surtout sur les surfaces accidentées. Notez que le toit en T peut devenir bruyant ou se mettre à claquer ou fuir avec le temps. Si vous n’êtes pas convaincu, tenez-vous-en au coupé.
Vu l’âge avancé de la deuxième génération du MR2 d’occasion qui vous intéresse, beaucoup de propriétaires y auront ajouté des composants haute performance au goût. En règle générale, les modifications à l’admission et l’échappement ne posent pas problème. Or, on conseille à l’acheteur qui ne s’y connaît pas en personnalisation de moteur d’éviter les modèles dont on a « amélioré » le turbocompresseur, le système d’injection de protoxyde d’azote ou l’ordinateur de bord.
Lors d’un essai routier, inspectez minutieusement le candidat pour tout signe de rouille, notamment autour des bas de caisses, du couvercle de coffre et des passages de roue. Vérifiez que les jambes de force ne soient pas excessivement rouillées non plus. Pour en avoir le cœur net, essayez de choisir un modèle qui a hiverné.
Vérifiez l’état des tissus et garnitures intérieurs en notant tout signe d’usure ou de dommages excessifs. Évaluez l’état de la peinture aussi, car certaines couleurs d’origine avaient tendance à pâlir ou s’écailler avec le temps. Enfin, ouvrez le coffre, retirez le tapis et notez tout signe d’humidité et de rouille.
Évitez les modèles qui crachent de la fumée au démarrage ou au ralenti, et sachez qu’un moteur qui tourne mal au ralenti ou « hésite » en accélération modérée ou soutenue peut être signe d’un problème de capteur et de commande du moteur. Un témoin du moteur l’annonce parfois.
Les modèles turbo doivent être inspectés par un mécanicien. D’importantes accumulations d’huile dans la tubulure du turbo, ainsi que des émissions de fumée en accélération ou à température de fonctionnement au ralenti sont des symptômes d’un turbocompresseur à l’agonie. Le moteur turbo du MR2 était performant, mais certains conducteurs ont signalé la défaillance du turbocompresseur d’origine après relativement peu de kilomètres.
Il se peut également que du liquide de refroidissement ou de l’huile fuie du moteur turbo, particulièrement derrière le bloc moteur et devant le tuyau primaire d’origine. Les coupables? Possiblement deux petites conduites dans cette région. Même si elles ne coûtent que quelques dollars, la facture pour la main-d’œuvre peut devenir salée vu leur emplacement.
Pour avoir l’esprit tranquille, on conseille fortement de faire inspecter l’intégralité de la mécanique ainsi que le turbocompresseur par un mécanicien Toyota.
Vous avez déniché un modèle bien entretenu qui passe le test? Au final, un MR2 propre, sain et sans rouille se traduira par une expérience sport unique et abordable pendant des années à venir.
Vu l’âge avancé de la deuxième génération du MR2 d’occasion qui vous intéresse, beaucoup de propriétaires y auront ajouté des composants haute performance au goût. En règle générale, les modifications à l’admission et l’échappement ne posent pas problème. Or, on conseille à l’acheteur qui ne s’y connaît pas en personnalisation de moteur d’éviter les modèles dont on a « amélioré » le turbocompresseur, le système d’injection de protoxyde d’azote ou l’ordinateur de bord.
Lors d’un essai routier, inspectez minutieusement le candidat pour tout signe de rouille, notamment autour des bas de caisses, du couvercle de coffre et des passages de roue. Vérifiez que les jambes de force ne soient pas excessivement rouillées non plus. Pour en avoir le cœur net, essayez de choisir un modèle qui a hiverné.
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| Toyota MR2 1993 (Photo: Toyota) |
Vérifiez l’état des tissus et garnitures intérieurs en notant tout signe d’usure ou de dommages excessifs. Évaluez l’état de la peinture aussi, car certaines couleurs d’origine avaient tendance à pâlir ou s’écailler avec le temps. Enfin, ouvrez le coffre, retirez le tapis et notez tout signe d’humidité et de rouille.
Évitez les modèles qui crachent de la fumée au démarrage ou au ralenti, et sachez qu’un moteur qui tourne mal au ralenti ou « hésite » en accélération modérée ou soutenue peut être signe d’un problème de capteur et de commande du moteur. Un témoin du moteur l’annonce parfois.
Les modèles turbo doivent être inspectés par un mécanicien. D’importantes accumulations d’huile dans la tubulure du turbo, ainsi que des émissions de fumée en accélération ou à température de fonctionnement au ralenti sont des symptômes d’un turbocompresseur à l’agonie. Le moteur turbo du MR2 était performant, mais certains conducteurs ont signalé la défaillance du turbocompresseur d’origine après relativement peu de kilomètres.
Il se peut également que du liquide de refroidissement ou de l’huile fuie du moteur turbo, particulièrement derrière le bloc moteur et devant le tuyau primaire d’origine. Les coupables? Possiblement deux petites conduites dans cette région. Même si elles ne coûtent que quelques dollars, la facture pour la main-d’œuvre peut devenir salée vu leur emplacement.
Pour avoir l’esprit tranquille, on conseille fortement de faire inspecter l’intégralité de la mécanique ainsi que le turbocompresseur par un mécanicien Toyota.
Vous avez déniché un modèle bien entretenu qui passe le test? Au final, un MR2 propre, sain et sans rouille se traduira par une expérience sport unique et abordable pendant des années à venir.
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