À la ligne de départ, on a donc le lièvre, fougueux, équipé d'une boîte de transmission manuelle précise, mais pas trop, et une petite bombe en guise de moteur. Le moteur turbocompressé 1,8 L à quatre cylindres en ligne développant 170 chevaux (166 lb-pi de couple entre 1 950 et 5 000 tr/min) qui est livré sur la Passat est aussi le même que sur la A4. Ce lièvre a la particularité de bondir dès le signal de départ, négociant les virages sans broncher et s'immobilisant sur demande, aidé en cela par des freins à disques aux quatre roues et un ABS.
Il y a aussi la tortue, qui aurait pu se donner des allures de char d'assaut avec quelques chevaux-vapeur additionnels, mais qui, une fois lancée, n'affiche aucun complexe.
Curieusement, la tortue dispose d'un costaud V6 de 2,8 L et 190 chevaux (206 lb-pi à 3 200 tr/min), qui pourrait faire bon usage d'une vingtaine de chevaux de plus, pour rivaliser avec la concurrence. La boîte automatique Tiptronic n'est pas parfaite non plus, mais la course sied mal à un animal de la trempe de la tortue. La patience est le mot d'ordre, l'accélération n'étant pas son point fort. On appréciera plutôt sa conduite une fois la vitesse de croisière atteinte, car tout se fait en douceur dans cette version. Une impression causée par le freinage moins prononcé et les reprises, qui n'ont pas le mordant souhaité. La 1,8T à transmission manuelle a un chrono au 0-100 km/h de 7,9 secondes contre 8,2 pour le V6 avec boîte automatique, une différence minime qui est pourtant apparente au volant. Un V6 obéissant aux commandes d'une transmission manuelle (0-100 km/h en 7,3 secondes) sera sans doute plus à-propos pour l'acheteur en quête de griserie.
Il y a aussi la tortue, qui aurait pu se donner des allures de char d'assaut avec quelques chevaux-vapeur additionnels, mais qui, une fois lancée, n'affiche aucun complexe.
Curieusement, la tortue dispose d'un costaud V6 de 2,8 L et 190 chevaux (206 lb-pi à 3 200 tr/min), qui pourrait faire bon usage d'une vingtaine de chevaux de plus, pour rivaliser avec la concurrence. La boîte automatique Tiptronic n'est pas parfaite non plus, mais la course sied mal à un animal de la trempe de la tortue. La patience est le mot d'ordre, l'accélération n'étant pas son point fort. On appréciera plutôt sa conduite une fois la vitesse de croisière atteinte, car tout se fait en douceur dans cette version. Une impression causée par le freinage moins prononcé et les reprises, qui n'ont pas le mordant souhaité. La 1,8T à transmission manuelle a un chrono au 0-100 km/h de 7,9 secondes contre 8,2 pour le V6 avec boîte automatique, une différence minime qui est pourtant apparente au volant. Un V6 obéissant aux commandes d'une transmission manuelle (0-100 km/h en 7,3 secondes) sera sans doute plus à-propos pour l'acheteur en quête de griserie.





