Et c'est EXACTEMENT le propos que tient un de mes collègues de travail.
En fait, je n'aborde plus ce sujet avec lui parce que, selon lui, même lorsqu'il y a une voie cyclable, il n'a pas à l'emprunter, il préfère monopoliser la voie de droite de la route. L'exemple est très évident et c'est la rue Sherbrooke, devant le Stade Olympique, où la voie cyclable est à un trottoir de la route. Et ça se passe exactement comme la photo de ce sujet... Comme Francis le souligne, je ne comprends même pas qu'ils n'envisagent pas qu'ils sont À TRÈS GROS RISQUES de se casser la gueule, par eux-mêmes, sans l'aide des automobilistes! Sauf que la suite pourrait être dramatique pour le conducteur qui suit. Oui, le "conducteur qui suit" parce que j'aurais beaucoup de difficulté à avoir de l'empathie pour le cycliste qui se ferait "ramasser" dans une telle circonstance...
Là où je suis plus tolérant, c'est en plein centre-ville car on ne connait pas vraiment la destination ou le point de départ - qui peuvent être un peu n'importe où - du cycliste donc il est peut-être en "transit" entre deux voies cyclables...
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