Audi est réputée pour ses voitures, notamment ses versions quattro. Pour suivre la grande mode des utilitaires sport, la firme a lancé le Q7 en 2006. Ses lignes et son format ont tout de suite attiré l'attention. Cette fois, nous faisons l'essai de la version 3.6 S line. Au départ, soulignons que l'utilitaire Q7 compte sur un équipement complet et assez sophistiqué, puisqu'il se range dans la catégorie des VUS de luxe. Donc, vous n'avez peu ou pas d'options à y ajouter, sauf la navigation.
Massif
La calandre du Q7 impressionne les automobilistes qui précèdent, et si l'on s'approche de trop près, on nous cède la place, peu importe qu'on ait l'intention de dépasser ou non. Est-ce l'effet recherché par le constructeur ? En tout cas, le Q7 se détache de ses concurrents par l'effet de ses lignes qui le grossissent et le rendent intimidant.
Comme il est haut sur pattes avec ses roues de 20 pouces (version S line), Audi a eu la sagesse d'installer une caméra de recul extrêmement bien placée avec un système de direction sur écran bien pensé et facile à utiliser. C'est l'un des meilleurs systèmes que je connaisse. On peut reculer dans un espace serré et bien aligner notre Q7. Les gros rétroviseurs extérieurs complètent bien l'ensemble et permettent une bonne visibilité tout autour.
Habitacle artificiellement restreint
Le déverrouillage électrique et l'ouverture automatique du hayon facilitent l'accès au coffre dont le seuil est, par ailleurs, très élevé pour y glisser des objets. Le volume de rangement variera en fonction du nombre de passagers. Si vous devez transporter sept passagers, pensez à enlever le cache-bagages avant de partir, car il n'existe aucun endroit pour le ranger, et il devient alors très encombrant. On devra le placer entre les passagers de la seconde rangée et les passagers avant. Et ne comptez pas alors sur le coffre pour emporter quelques bagages.
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| Le Q7 se détache de ses concurrents par l'effet de ses lignes qui le grossissent et le rendent intimidant. |
Massif
La calandre du Q7 impressionne les automobilistes qui précèdent, et si l'on s'approche de trop près, on nous cède la place, peu importe qu'on ait l'intention de dépasser ou non. Est-ce l'effet recherché par le constructeur ? En tout cas, le Q7 se détache de ses concurrents par l'effet de ses lignes qui le grossissent et le rendent intimidant.
Comme il est haut sur pattes avec ses roues de 20 pouces (version S line), Audi a eu la sagesse d'installer une caméra de recul extrêmement bien placée avec un système de direction sur écran bien pensé et facile à utiliser. C'est l'un des meilleurs systèmes que je connaisse. On peut reculer dans un espace serré et bien aligner notre Q7. Les gros rétroviseurs extérieurs complètent bien l'ensemble et permettent une bonne visibilité tout autour.
Habitacle artificiellement restreint
Le déverrouillage électrique et l'ouverture automatique du hayon facilitent l'accès au coffre dont le seuil est, par ailleurs, très élevé pour y glisser des objets. Le volume de rangement variera en fonction du nombre de passagers. Si vous devez transporter sept passagers, pensez à enlever le cache-bagages avant de partir, car il n'existe aucun endroit pour le ranger, et il devient alors très encombrant. On devra le placer entre les passagers de la seconde rangée et les passagers avant. Et ne comptez pas alors sur le coffre pour emporter quelques bagages.
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| Si vous devez transporter sept passagers, enlever le cache-bagages avant de partir. |