M TwinPower Turbo
Toute son énergie provient d'un moteur turbocompressé de 3,0 litres à six cylindres en ligne qui génère 335 chevaux. La 1M décolle violemment, le train arrière peinant à s'accrocher à la route pendant les deux premiers rapports, et elle change de vitesse avec empressement par l'entremise d'un petit levier à course rapprochée. L'embrayage offre une belle sensation de lourdeur tout en restant assez léger dans la circulation quotidienne. Le système antidérapage a été savamment calibré pour nous permettre d'explorer les limites de la machine en toute sécurité. Quant à l'échappement, il produit un son riche mais feutré à faible régime.
Écrasez la pédale au plancher et la BMW 1M vous catapultera avec une telle force que plusieurs jurons s'échapperont de votre bouche. Même en sixième vitesse, une solide pression sur l'accélérateur libère une généreuse dose de couple qui propulse l'Allemande au-devant des voitures plus lentes en un éclair. Et ce bouton M sur le volant? Il active le mode sport, qui augmente la sensibilité du papillon des gaz et de la direction ainsi que les seuils d'intervention du système antidérapage pour maximiser le plaisir et le divertissement.
Danser sur la piste
Ajoutez une direction bien pesée et rapide, de même qu'une suspension conçue pour la piste, et vous obtiendrez un bolide judicieusement équipé pour tailler en morceaux les virages et lignes droites. La 1M ne plante pas ses griffes dans la chaussée; je dirais plutôt qu'elle l'enlace et danse en sa compagnie. Grâce au court empattement, au couple abondant (369 livres-pied) et au train arrière aussi léger que nerveux, elle se montre fougueuse et athlétique quand on la pousse à fond. On peut vraiment sentir tout le travail de la suspension et du châssis dans ces moments de conduite très sportive.
Malheureusement, c'est le genre de voiture qui nous supplie de rouler à fond. Elle fait battre le cœur plus rapidement qu'une grosse poutine familiale et sa performance est si intoxicante qu'on en vient à conduire comme un Montréalais. Faites gaffe aux excès de vitesse!
Au cas où ça vous intéresse (mais j'en doute), la 1M s'avère également peu assoiffée d'essence sur l'autoroute quand l'urgence ne se fait pas sentir. Au terme de mon essai routier, j'ai obtenu une consommation moyenne de 11 litres aux 100 kilomètres.
Toute son énergie provient d'un moteur turbocompressé de 3,0 litres à six cylindres en ligne qui génère 335 chevaux. La 1M décolle violemment, le train arrière peinant à s'accrocher à la route pendant les deux premiers rapports, et elle change de vitesse avec empressement par l'entremise d'un petit levier à course rapprochée. L'embrayage offre une belle sensation de lourdeur tout en restant assez léger dans la circulation quotidienne. Le système antidérapage a été savamment calibré pour nous permettre d'explorer les limites de la machine en toute sécurité. Quant à l'échappement, il produit un son riche mais feutré à faible régime.
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| Toute son énergie provient d'un moteur turbocompressé de 3,0 litres à six cylindres en ligne qui génère 335 chevaux. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |
Écrasez la pédale au plancher et la BMW 1M vous catapultera avec une telle force que plusieurs jurons s'échapperont de votre bouche. Même en sixième vitesse, une solide pression sur l'accélérateur libère une généreuse dose de couple qui propulse l'Allemande au-devant des voitures plus lentes en un éclair. Et ce bouton M sur le volant? Il active le mode sport, qui augmente la sensibilité du papillon des gaz et de la direction ainsi que les seuils d'intervention du système antidérapage pour maximiser le plaisir et le divertissement.
Danser sur la piste
Ajoutez une direction bien pesée et rapide, de même qu'une suspension conçue pour la piste, et vous obtiendrez un bolide judicieusement équipé pour tailler en morceaux les virages et lignes droites. La 1M ne plante pas ses griffes dans la chaussée; je dirais plutôt qu'elle l'enlace et danse en sa compagnie. Grâce au court empattement, au couple abondant (369 livres-pied) et au train arrière aussi léger que nerveux, elle se montre fougueuse et athlétique quand on la pousse à fond. On peut vraiment sentir tout le travail de la suspension et du châssis dans ces moments de conduite très sportive.
Malheureusement, c'est le genre de voiture qui nous supplie de rouler à fond. Elle fait battre le cœur plus rapidement qu'une grosse poutine familiale et sa performance est si intoxicante qu'on en vient à conduire comme un Montréalais. Faites gaffe aux excès de vitesse!
Au cas où ça vous intéresse (mais j'en doute), la 1M s'avère également peu assoiffée d'essence sur l'autoroute quand l'urgence ne se fait pas sentir. Au terme de mon essai routier, j'ai obtenu une consommation moyenne de 11 litres aux 100 kilomètres.
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| Au terme de mon essai routier, j'ai obtenu une consommation moyenne de 11 litres aux 100 kilomètres. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |