Une fois à l'intérieur, on ne peut s'empêcher d'être impressionné. Le Silverado LTZ présente un habitacle qui égale celui de n'importe quel camion de luxe produit par GM, Ford ou autre. Du tableau de bord orné de jolies boiseries jusqu'aux sièges en cuir, la qualité et la richesse transpirent de partout.
N'oublions pas de souligner le caractère très spacieux de la cabine, principalement attribuable à la disposition dudit tableau de bord. Par surcroît, tous les boutons sont accessibles et intuitifs. Il y en a plusieurs, car ce camion est rempli de technologies et de gadgets dernier cri, dont la radio satellite XM.
Ceci dit, il manque encore un élément important, malgré mes nombreuses plaintes adressées au constructeur: un volant télescopique. D'accord, celui-ci est inclinable, mais ce n'est plus suffisant en 2007; GM se doit de réaliser que les conducteurs aiment aussi les volants qui s'ajustent en profondeur. La plupart des manufacturiers l'ont compris et, d'ailleurs, la Hyundai Sonata que j'essaie au moment où vous lisez ces lignes offre une telle commodité... malgré son prix inférieur à 30 000$!
Nonobstant cette lacune, il est difficile de ne pas succomber au charme intérieur du Silverado. C'est un environnement non seulement ultra confortable mais aussi à la hauteur des caprices des propriétaires de berlines luxueuses.
Passons maintenant à la conduite. Avec son V8 Vortec de 5,3 litres, le Silverado possède amplement de puissance mais, en plus, il offre aussi une bonne économie d'essence. Disons merci au système de Gestion active du carburant de GM, qui désactive la moitié des cylindres quand leur apport n'est pas nécessaire (ex.: en vitesse de croisière).
Mon modèle comportait en outre une boîte automatique à quatre vitesses avec surmultipliée ainsi que le système 4RM Autotrac de GM. Ce dernier peut être réglé par le conducteur à l'aide d'une commande électronique rotative. Le Silverado est aussi doté d'un différentiel arrière bloquant avec rapport de pont de 3,73.
Je dirais que sa qualité de roulement est extrêmement bonne. Évidemment, il se comporte en vrai camion sur l'asphalte, mais il demeure très confortable et stable. Les bosses et les nids-de-poule sont adroitement absorbés par la suspension, tandis que la direction est précise et offre un certain niveau de feedback.
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| La présentation du tableau de bord est beaucoup plus moderne que lors des années précédentes. |
N'oublions pas de souligner le caractère très spacieux de la cabine, principalement attribuable à la disposition dudit tableau de bord. Par surcroît, tous les boutons sont accessibles et intuitifs. Il y en a plusieurs, car ce camion est rempli de technologies et de gadgets dernier cri, dont la radio satellite XM.
Ceci dit, il manque encore un élément important, malgré mes nombreuses plaintes adressées au constructeur: un volant télescopique. D'accord, celui-ci est inclinable, mais ce n'est plus suffisant en 2007; GM se doit de réaliser que les conducteurs aiment aussi les volants qui s'ajustent en profondeur. La plupart des manufacturiers l'ont compris et, d'ailleurs, la Hyundai Sonata que j'essaie au moment où vous lisez ces lignes offre une telle commodité... malgré son prix inférieur à 30 000$!
Nonobstant cette lacune, il est difficile de ne pas succomber au charme intérieur du Silverado. C'est un environnement non seulement ultra confortable mais aussi à la hauteur des caprices des propriétaires de berlines luxueuses.
Passons maintenant à la conduite. Avec son V8 Vortec de 5,3 litres, le Silverado possède amplement de puissance mais, en plus, il offre aussi une bonne économie d'essence. Disons merci au système de Gestion active du carburant de GM, qui désactive la moitié des cylindres quand leur apport n'est pas nécessaire (ex.: en vitesse de croisière).
Mon modèle comportait en outre une boîte automatique à quatre vitesses avec surmultipliée ainsi que le système 4RM Autotrac de GM. Ce dernier peut être réglé par le conducteur à l'aide d'une commande électronique rotative. Le Silverado est aussi doté d'un différentiel arrière bloquant avec rapport de pont de 3,73.
Je dirais que sa qualité de roulement est extrêmement bonne. Évidemment, il se comporte en vrai camion sur l'asphalte, mais il demeure très confortable et stable. Les bosses et les nids-de-poule sont adroitement absorbés par la suspension, tandis que la direction est précise et offre un certain niveau de feedback.
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| La qualité de roulement du Silverado est très bonne pour un camion du genre. |