Une étude menée par des scientifiques de l'Université de la Californie du Sud, portant sur les risques de la pollution de nos voitures sur la santé des humains, a révélé qu'elle pourrait causer des problèmes au cerveau.
Pour arriver à ces conclusions, ils ont exposé des souris quotidiennement cinq heures par jour, trois jours par semaine, sur une période de 10 semaines. Une fois l'expérimentation complétée, leur analyse démontrait des signes d'inflammation semblables au vieillissement prématuré et la maladie d'Alzheimer.
De plus, les neurones responsables de l'apprentissage et de la mémoire des rongeurs exposés ne se développaient pas au même rythme que ceux ne devant pas faire face aux contaminants atmosphériques.
Selon le Dr Caleb Finch, auteur sénior de l'enquête, des particules invisibles ayant environ 1/1000 de la grosseur d'un cheveu seraient attribuables à ces effets, car elles ne peuvent être filtrées par les dispositifs de purification de l'air de nos automobiles. Si l'on applique ces résultats à l'échelle humaine, cela signifierait qu'une exposition à de l'air vicié représenterait un danger pour notre santé à long terme.
Une solution simple et efficace de remédier à ce problème serait de se tourner vers les véhicules électriques, toutefois le Dr Finch précise que la production d’électricité dépend encore des processus de combustion, comme le charbon, responsable en grande partie des nanoparticules.
Source: Car Advice
Pour arriver à ces conclusions, ils ont exposé des souris quotidiennement cinq heures par jour, trois jours par semaine, sur une période de 10 semaines. Une fois l'expérimentation complétée, leur analyse démontrait des signes d'inflammation semblables au vieillissement prématuré et la maladie d'Alzheimer.
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De plus, les neurones responsables de l'apprentissage et de la mémoire des rongeurs exposés ne se développaient pas au même rythme que ceux ne devant pas faire face aux contaminants atmosphériques.
Selon le Dr Caleb Finch, auteur sénior de l'enquête, des particules invisibles ayant environ 1/1000 de la grosseur d'un cheveu seraient attribuables à ces effets, car elles ne peuvent être filtrées par les dispositifs de purification de l'air de nos automobiles. Si l'on applique ces résultats à l'échelle humaine, cela signifierait qu'une exposition à de l'air vicié représenterait un danger pour notre santé à long terme.
Une solution simple et efficace de remédier à ce problème serait de se tourner vers les véhicules électriques, toutefois le Dr Finch précise que la production d’électricité dépend encore des processus de combustion, comme le charbon, responsable en grande partie des nanoparticules.
Source: Car Advice