D’après GMM
À moins de 24 heures de la date butoir pour s’inscrire officiellement au Championnat du monde de Formule 1, Max Mosley, le président de la FIA, a fait une dernière offre aux équipes rebelles de la FOTA afin de mettre un terme au conflit.
Dans une lettre qu’il a envoyée aux écuries de la FOTA jeudi, dont certains médias ont obtenu copie, Mosley propose d’amender les règlements de 2010 afin de fixer le plafond budgétaire à 100 millions d’euros la première année, et de l’abaisser à 45 en 2011.
Dans la lettre qu’ils ont fait parvenir mardi à Max Molsey, les écuries de la FOTA n’ont pas précisé les montants de leur plafond budgétaire.
Mosley dit aussi accepter la proposition qui suggère que les budgets soient gérés par les équipes elle-mêmes, et que toute contestation soit analysée par un « vérificateur comptable accepté par les parties ».
Le président de la FIA demande aussi aux équipes de prolonger les Accords de Concorde de 1998 jusqu’en 2014. Il a aussi précisé qu’il n’était pas opposé à l’idée de changer certains détails du fonctionnement administratif de la FIA, incluant la Cour d’appel internationale.
Au moins un membre de la FOTA a indiqué que la position de Mosley n’avait pas vraiment changé.
« Pour être honnête, je dirais qu’il n’a pas vraiment modifié son offre, » a-t-il dit.
photo:WRI2
À moins de 24 heures de la date butoir pour s’inscrire officiellement au Championnat du monde de Formule 1, Max Mosley, le président de la FIA, a fait une dernière offre aux équipes rebelles de la FOTA afin de mettre un terme au conflit.
Dans une lettre qu’il a envoyée aux écuries de la FOTA jeudi, dont certains médias ont obtenu copie, Mosley propose d’amender les règlements de 2010 afin de fixer le plafond budgétaire à 100 millions d’euros la première année, et de l’abaisser à 45 en 2011.
Dans la lettre qu’ils ont fait parvenir mardi à Max Molsey, les écuries de la FOTA n’ont pas précisé les montants de leur plafond budgétaire.
Mosley dit aussi accepter la proposition qui suggère que les budgets soient gérés par les équipes elle-mêmes, et que toute contestation soit analysée par un « vérificateur comptable accepté par les parties ».
Le président de la FIA demande aussi aux équipes de prolonger les Accords de Concorde de 1998 jusqu’en 2014. Il a aussi précisé qu’il n’était pas opposé à l’idée de changer certains détails du fonctionnement administratif de la FIA, incluant la Cour d’appel internationale.
Au moins un membre de la FOTA a indiqué que la position de Mosley n’avait pas vraiment changé.
« Pour être honnête, je dirais qu’il n’a pas vraiment modifié son offre, » a-t-il dit.
photo:WRI2