C’est une question de maîtrise
La transmission intégrale est un système parmi plusieurs qui tempèrent les ardeurs de la grosse Ford. La suspension de la SHO est nettement plus ferme que celle de la Taurus, un avantage dans les courbes.
C’est un véhicule lourd, et son poids se fait sentir lorsqu’on donne libre cours à notre enthousiasme. Oui, elle demeure stable et bien plantée, mais elle n’a pas la souplesse d’une BMW de série 5, disons… mais elle ne tombe évidemment pas dans la même fourchette de prix non plus.
Dans l’ensemble, la dernière Taurus SHO profite d’une tenue de route très vive, tellement vive en fait que la plupart des conducteurs ne sauront l’exploiter pleinement. Inutile, donc, de nous entêter à la comparer aux modèles allemands.
Cette voiture fera le bonheur de l’amateur de conduite qui somnole en nous tous.
Ce bonheur est toutefois obtenu au profit du confort de conduite. La SHO n’est pas rude et ne relève pas de la camionnette pour autant, mais disons que la qualité de roulement n’est pas son point fort. Mais quand on parle de solidité structurale, là, c’est autre chose. Le châssis et la suspension de mon modèle d’essai ne trahissaient aucun bruit, ce qui est si souvent le cas des structures survitaminées.
Le mot de la fin
Au terme d’une semaine au volant de la Taurus SHO, je dois avouer qu’elle a gagné mon respect. Elle projette une brillante assurance et impressionne par le look et la qualité exceptionnels de son habitacle. Et ses performances sont à la hauteur de son image.
Le moteur EcoBoost, bien que pas aussi mielleux que le six cylindres en ligne biturbo de BMW, est extrêmement raffiné et infiniment satisfaisant. Il sert de cœur à un véhicule athlétique qui peut aisément accueillir cinq adultes.
La sécurité et la technologie y ont également été optimisées. La liste est trop longue pour qu’on la dresse ici, alors croyez-moi quand je vous dis que la SHO ne manque de rien. Si c’est à la fine pointe de la technologie, les chances sont bonnes que la SHO en soit équipée.
Enfin, s’il y a une ombre à ce tableau, elle est composée d’argent… de beaucoup d’argent. Avec les frais de livraison, le PDSF de mon modèle d’essai s’élevait à 53 749 $. J’ai de la difficulté à accepter qu’une Taurus puisse avoisiner les 50 000 dollars.
Mais comme on dit, il faut la conduire pour comprendre.
photo:Rob Rothwell
La transmission intégrale est un système parmi plusieurs qui tempèrent les ardeurs de la grosse Ford. La suspension de la SHO est nettement plus ferme que celle de la Taurus, un avantage dans les courbes.
C’est un véhicule lourd, et son poids se fait sentir lorsqu’on donne libre cours à notre enthousiasme. Oui, elle demeure stable et bien plantée, mais elle n’a pas la souplesse d’une BMW de série 5, disons… mais elle ne tombe évidemment pas dans la même fourchette de prix non plus.
Dans l’ensemble, la dernière Taurus SHO profite d’une tenue de route très vive, tellement vive en fait que la plupart des conducteurs ne sauront l’exploiter pleinement. Inutile, donc, de nous entêter à la comparer aux modèles allemands.
Cette voiture fera le bonheur de l’amateur de conduite qui somnole en nous tous.
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| Au terme d’une semaine au volant de la Taurus SHO, je dois avouer qu’elle a gagné mon respect. |
Ce bonheur est toutefois obtenu au profit du confort de conduite. La SHO n’est pas rude et ne relève pas de la camionnette pour autant, mais disons que la qualité de roulement n’est pas son point fort. Mais quand on parle de solidité structurale, là, c’est autre chose. Le châssis et la suspension de mon modèle d’essai ne trahissaient aucun bruit, ce qui est si souvent le cas des structures survitaminées.
Le mot de la fin
Au terme d’une semaine au volant de la Taurus SHO, je dois avouer qu’elle a gagné mon respect. Elle projette une brillante assurance et impressionne par le look et la qualité exceptionnels de son habitacle. Et ses performances sont à la hauteur de son image.
Le moteur EcoBoost, bien que pas aussi mielleux que le six cylindres en ligne biturbo de BMW, est extrêmement raffiné et infiniment satisfaisant. Il sert de cœur à un véhicule athlétique qui peut aisément accueillir cinq adultes.
La sécurité et la technologie y ont également été optimisées. La liste est trop longue pour qu’on la dresse ici, alors croyez-moi quand je vous dis que la SHO ne manque de rien. Si c’est à la fine pointe de la technologie, les chances sont bonnes que la SHO en soit équipée.
Enfin, s’il y a une ombre à ce tableau, elle est composée d’argent… de beaucoup d’argent. Avec les frais de livraison, le PDSF de mon modèle d’essai s’élevait à 53 749 $. J’ai de la difficulté à accepter qu’une Taurus puisse avoisiner les 50 000 dollars.
Mais comme on dit, il faut la conduire pour comprendre.
photo:Rob Rothwell
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