Ce constat est devenu particulièrement vrai au cours des trois sorties de ski effectuées avec mon modèle d’essai. En abaissant le 20 % central de la banquette, j’ai pu charger les skis longitudinalement tout en permettant à deux ados de s’asseoir confortablement dans les deux places extérieures. En effet, ni l’un, ni l’autre ne s’est plaint d’être assis sur la « bosse au milieu ».
On peut également rabattre et replier la banquette arrière vers l’avant afin de maximiser l’espace de chargement : on obtient ce faisant 2 064 litres de volume très utile. Nous savons maintenant que le CR-V gobe facilement personnes et équipement, mais qu’en est-il de son comportement routier?
Derrière le volant
J’ai décrit la conduite du CR-V comme un plaisir simple, et j’emploie ce terme dans son sens le plus positif. Il y quelque chose de simple, d’honnête, dans le pilotage de ce bolide. Il semble tout accomplir aisément, simplement et précisément… y compris l’ascension de chemins de montagne.
Le moteur accompli s’avère amplement vigoureux lorsqu’on le pousse. Il est silencieux et raffiné, profitant d’une cartographie de moteur détendue et progressive et faisant des douces applications de puissance un jeu d’enfant.
Le discret moteur est marié à une boîte automatique à 5 vitesses commandée par un levier fixé au tableau de bord. Cette configuration est un peu vieux jeu, ne proposant pas de mode manuel électronique encourageant la participation du conducteur quand les choses se corsent.
Cela dit, je fus extrêmement impressionné par la technologie « Grade Logic Control » de Honda. Sur la route menant au centre de ski, mon modèle d’essai s’est cantonné au bon rapport plutôt que de chercher sans cesse le rapport le plus efficace, comme le sont portés certains 4-cylindres. Le petit bazou de Honda a également bien tenu la route sur les chemins en lacet.
 |
| Nous savons maintenant que le CR-V gobe facilement personnes et équipement. |
On peut également rabattre et replier la banquette arrière vers l’avant afin de maximiser l’espace de chargement : on obtient ce faisant 2 064 litres de volume très utile. Nous savons maintenant que le CR-V gobe facilement personnes et équipement, mais qu’en est-il de son comportement routier?
Derrière le volant
J’ai décrit la conduite du CR-V comme un plaisir simple, et j’emploie ce terme dans son sens le plus positif. Il y quelque chose de simple, d’honnête, dans le pilotage de ce bolide. Il semble tout accomplir aisément, simplement et précisément… y compris l’ascension de chemins de montagne.
Le moteur accompli s’avère amplement vigoureux lorsqu’on le pousse. Il est silencieux et raffiné, profitant d’une cartographie de moteur détendue et progressive et faisant des douces applications de puissance un jeu d’enfant.
Le discret moteur est marié à une boîte automatique à 5 vitesses commandée par un levier fixé au tableau de bord. Cette configuration est un peu vieux jeu, ne proposant pas de mode manuel électronique encourageant la participation du conducteur quand les choses se corsent.
Cela dit, je fus extrêmement impressionné par la technologie « Grade Logic Control » de Honda. Sur la route menant au centre de ski, mon modèle d’essai s’est cantonné au bon rapport plutôt que de chercher sans cesse le rapport le plus efficace, comme le sont portés certains 4-cylindres. Le petit bazou de Honda a également bien tenu la route sur les chemins en lacet.
 |
| Le discret moteur est marié à une boîte automatique à 5 vitesses commandée par un levier fixé au tableau de bord. |