En passant, le toit Vista et le hayon électrique sont également disponibles sur l’Edge Limited...
Intérieur: pas (tout à fait) idem!
Le volume intérieur utile du MKX équivaut naturellement à celui d’un Edge. Quatre adultes, cinq au besoin, y trouveront l’espace nécessaire pour couvrir de longues distances en tout confort. Et comme dans un Edge Limited, les sièges sont garnis de cuir.
Les sièges baquets sont amples et manquent de support latéral. Au premier virage serré, le roulis prononcé rend cela évident.
Le tableau de bord du MKX offre un coup d’oeil distinct, même si l’essentiel des commandes adopte les mêmes emplacements. Celui du MKX se pare cependant d’appliques de bois, d’érable ou d’ébène au choix de l’acheteur. Cette initiative louable se révèle décevante lorsqu’on constate que ces appliques ressemblent à de vulgaires retailles rectangulaires bêtement flanquées çà et là.
Et pourquoi parer le boudin du volant de deux minuscules sections de bois dans sa partie inférieure? Pour suggérer la position de conduite à adopter – la position « pépère »?! Pas très inspirant...
Heureusement, ce volant inclinable, qui est également télescopique, procure l’ajustement nécessaire pour adopter une position de conduite agréable.
Le MKX procure un autre bénéfice à ses occupants : des sièges chauffants devant comme derrière. Devant, ils sont même ventilés!
Comportement routier: idem...
Sur la route, les occupants bénéficient d’un roulement indéniablement doux. La direction est précise et le freinage, assuré par des disques aux quatre roues, est facile à doser. L’absence de bruits parasites évoque la robustesse du châssis, alors que la suspension masque efficacement les défauts du revêtement.
On regrette, par contre, la visibilité arrière réduite. Car elle impose des manoeuvres de stationnement imprécises, largement guidées par les bips sonores du sonar arrière (heureusement de série!). Curieusement, Ford n’offre pas de caméra arrière pour ce véhicule, bien qu’il puisse être équipé, contre supplément, d’un système de navigation muni d’un écran de 6,5 pouces.
Enfin, ce Lincoln bénéficie d’une garantie générale de 4 ans ou 100 000 kilomètres, alors que celle du Ford est limitée à 3 ans et 80 000 kilomètres. Au fond, outre la question de prestige, c’est peut-être là la seule autre justification valable pour choisir le MKX.
Intérieur: pas (tout à fait) idem!
Le volume intérieur utile du MKX équivaut naturellement à celui d’un Edge. Quatre adultes, cinq au besoin, y trouveront l’espace nécessaire pour couvrir de longues distances en tout confort. Et comme dans un Edge Limited, les sièges sont garnis de cuir.
Les sièges baquets sont amples et manquent de support latéral. Au premier virage serré, le roulis prononcé rend cela évident.
Le tableau de bord du MKX offre un coup d’oeil distinct, même si l’essentiel des commandes adopte les mêmes emplacements. Celui du MKX se pare cependant d’appliques de bois, d’érable ou d’ébène au choix de l’acheteur. Cette initiative louable se révèle décevante lorsqu’on constate que ces appliques ressemblent à de vulgaires retailles rectangulaires bêtement flanquées çà et là.
Et pourquoi parer le boudin du volant de deux minuscules sections de bois dans sa partie inférieure? Pour suggérer la position de conduite à adopter – la position « pépère »?! Pas très inspirant...
Heureusement, ce volant inclinable, qui est également télescopique, procure l’ajustement nécessaire pour adopter une position de conduite agréable.
L’aire à bagages modulable particulièrement vaste procure à cet utilitaire un côté indéniablement pratique. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Le MKX procure un autre bénéfice à ses occupants : des sièges chauffants devant comme derrière. Devant, ils sont même ventilés!
Comportement routier: idem...
Sur la route, les occupants bénéficient d’un roulement indéniablement doux. La direction est précise et le freinage, assuré par des disques aux quatre roues, est facile à doser. L’absence de bruits parasites évoque la robustesse du châssis, alors que la suspension masque efficacement les défauts du revêtement.
On regrette, par contre, la visibilité arrière réduite. Car elle impose des manoeuvres de stationnement imprécises, largement guidées par les bips sonores du sonar arrière (heureusement de série!). Curieusement, Ford n’offre pas de caméra arrière pour ce véhicule, bien qu’il puisse être équipé, contre supplément, d’un système de navigation muni d’un écran de 6,5 pouces.
Enfin, ce Lincoln bénéficie d’une garantie générale de 4 ans ou 100 000 kilomètres, alors que celle du Ford est limitée à 3 ans et 80 000 kilomètres. Au fond, outre la question de prestige, c’est peut-être là la seule autre justification valable pour choisir le MKX.