Au début, j'ai trouvé les freins en carbone-céramique très sensibles et difficiles à doser. Une chose est sûre, cependant : ils immobilisent la SLS AMG avec une force du tonnerre. Dieu merci, car on se laisse facilement séduire par la puissance astronomique du V8, qui nous catapulte à des vitesses illégales en un rien de temps.
Bon, évidemment, ce n'est pas tout le monde qui aimera conduire pareil bolide. Bien que le mode Confort de la suspension adaptative procure un roulement agréable, voire digne d'une luxueuse berline, un bourdonnement constant en trame de fond s'ajoute aux explosions retentissantes de l'échappement de même qu'à la boîte à double embrayage qui grince des dents comme un étalon enragé et déchaîné. Or, la cacophonie aux oreilles de l'un se révélera une symphonie à celles de l'autre; autant de stimulation auditive plaira assurément aux mordus de performance.
En mode Sport, la SLS AMG se raffermit telle une bête de piste et sa boîte de vitesses livre des passages encore plus rapides. Les courageux (ou téméraires) qui osent désactiver les systèmes électroniques d'aide à la conduite doivent savoir que la queue de ce dragon mécanique peut tournoyer en un éclair.
Les individus qui tiennent à leur intimité ou à voyager incognito ne l'aimeront pas non plus, car il s'avère impossible de ne pas attirer l'attention. D'ailleurs, en allant retrouver la voiture dans le stationnement, il m'est souvent arrivé de la voir entourée de plusieurs curieux et admirateurs.
En remettant les clés de la Mercedes-Benz SLS AMG 2011 au terme d'un essai routier beaucoup trop court, j'avais un gros « moton » dans la gorge et le cœur encore plein d'envies – exactement comme si je venais de vivre une histoire d'amour brève et torride avec une personne franchement hors de ma ligue.
Bon, évidemment, ce n'est pas tout le monde qui aimera conduire pareil bolide. Bien que le mode Confort de la suspension adaptative procure un roulement agréable, voire digne d'une luxueuse berline, un bourdonnement constant en trame de fond s'ajoute aux explosions retentissantes de l'échappement de même qu'à la boîte à double embrayage qui grince des dents comme un étalon enragé et déchaîné. Or, la cacophonie aux oreilles de l'un se révélera une symphonie à celles de l'autre; autant de stimulation auditive plaira assurément aux mordus de performance.
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| Bien que le mode Confort de la suspension adaptative procure un roulement agréable, un bourdonnement constant en trame de fond s'ajoute aux explosions retentissantes de l'échappement. (Photo: Mercedes-Benz) |
En mode Sport, la SLS AMG se raffermit telle une bête de piste et sa boîte de vitesses livre des passages encore plus rapides. Les courageux (ou téméraires) qui osent désactiver les systèmes électroniques d'aide à la conduite doivent savoir que la queue de ce dragon mécanique peut tournoyer en un éclair.
Les individus qui tiennent à leur intimité ou à voyager incognito ne l'aimeront pas non plus, car il s'avère impossible de ne pas attirer l'attention. D'ailleurs, en allant retrouver la voiture dans le stationnement, il m'est souvent arrivé de la voir entourée de plusieurs curieux et admirateurs.
En remettant les clés de la Mercedes-Benz SLS AMG 2011 au terme d'un essai routier beaucoup trop court, j'avais un gros « moton » dans la gorge et le cœur encore plein d'envies – exactement comme si je venais de vivre une histoire d'amour brève et torride avec une personne franchement hors de ma ligue.
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