Au volant, on devient très conscient de la grosseur de la Quest. Or, malgré sa longueur, un peu plus de 5,1 mètres en tout, elle présente un diamètre de braquage très serré. Quelle ne fut pas ma surprise de constater sa grande maniabilité dans les stationnements étroits! Ou plutôt, mon choc. En effet, c’est l’aspect de cette fourgonnette qui m’a le plus frappée.
La nouvelle Quest dispose de portières coulissantes électriques avec autoverrouillage, et grâce au seuil de portières plus bas que la concurrence, les jeunes enfants et les passagers plus âgés n’auront aucune difficulté à accéder aux deuxième et troisième rangées.
Le hayon électrique arrive de série sur les versions SL et LE. Malheureusement, on ne l’offre même pas en option sur les deux modèles d’entrée de gamme.
Les deuxième et troisième rangées se rabattent à plat à l’aide d’une languette à déverrouillage rapide sur les S et SV. Les SL et LE, elles, proposent un simple bouton.
La troisième rangée est divisée et asymétrique, et toutes les places sont incroyablement confortables.
Il y a toutefois un grand désavantage : on ne peut obtenir que deux sièges baquets pour la deuxième rangée et pas de banquette. Ainsi, s’il vous faut une fourgonnette à huit places, vous devrez regarder ailleurs.
Je suis tombée en amour avec la fonction de chauffage rapide des sièges avant, qui réchauffe immédiatement les parties du corps les plus sensibles, dont les cuisses et les hanches. Une sensation sublime, même que je dirais qu’il s’agit des sièges les mieux chauffés que j’ai jamais essayés.
Et ce confort d’exception n’est que rehaussé par la tenue de route sensible assurée par la suspension indépendante. La direction à crémaillère assistée s’avère un peu légère, mais elle fournit assez de rétroaction pour que le conducteur se sente en pleine maîtrise de la situation.
La nouvelle Quest dispose de portières coulissantes électriques avec autoverrouillage, et grâce au seuil de portières plus bas que la concurrence, les jeunes enfants et les passagers plus âgés n’auront aucune difficulté à accéder aux deuxième et troisième rangées.
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| Les deuxième et troisième rangées se rabattent à plat à l’aide d’une languette à déverrouillage rapide sur les S et SV. Les SL et LE, elles, proposent un simple bouton. (Photo: Nissan) |
Le hayon électrique arrive de série sur les versions SL et LE. Malheureusement, on ne l’offre même pas en option sur les deux modèles d’entrée de gamme.
Les deuxième et troisième rangées se rabattent à plat à l’aide d’une languette à déverrouillage rapide sur les S et SV. Les SL et LE, elles, proposent un simple bouton.
La troisième rangée est divisée et asymétrique, et toutes les places sont incroyablement confortables.
Il y a toutefois un grand désavantage : on ne peut obtenir que deux sièges baquets pour la deuxième rangée et pas de banquette. Ainsi, s’il vous faut une fourgonnette à huit places, vous devrez regarder ailleurs.
Je suis tombée en amour avec la fonction de chauffage rapide des sièges avant, qui réchauffe immédiatement les parties du corps les plus sensibles, dont les cuisses et les hanches. Une sensation sublime, même que je dirais qu’il s’agit des sièges les mieux chauffés que j’ai jamais essayés.
Et ce confort d’exception n’est que rehaussé par la tenue de route sensible assurée par la suspension indépendante. La direction à crémaillère assistée s’avère un peu légère, mais elle fournit assez de rétroaction pour que le conducteur se sente en pleine maîtrise de la situation.
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| Il y a toutefois un grand désavantage : on ne peut obtenir que deux sièges baquets pour la deuxième rangée et pas de banquette. (Photo: Nissan) |