Vous voyez, plus grande, la Legacy devient également plus pesante, ce qui, habituellement, laisse une impression d’un véhicule moins sportif et moins rapide. Une suspension axée davantage sur le confort tend à donner le même résultat aussi. Même si ces « améliorations » fonctionnent pour la majorité des modèles Legacy, elles contrarieront peut-être le petit pourcentage d’acheteurs à la recherche d’une berline sport… comme la Legacy 2.5GT.
La variante précédente de la Legacy 2.5GT était une voiture branchée, performante et semi-exclusive qui initiait les conducteurs au monde de la conduite sportive. Du mordant à souhait, une direction serrée, une dynamique de conduite compacte et une personnalité enthousiaste et stable en faisaient une voiture idéale pour tout genre d’ébats auxquels on voulait s’adonner, été comme hiver.
Même en version Spec B peaufinée en usine et dotée d’une suspension efficace, votre journaliste trouvait que la dernière génération de la Legacy GT offrait un bel équilibre entre le confort et la prouesse. Et les routes nord-ontariennes près de chez moi sont aussi bien entretenues qu’une plateforme pétrolière gérée par BP!
Belle sonorité, aussi. À pleins gaz, le conducteur avait droit à une symphonie de gémissements variés, la boîte de vitesses et le turbocompresseur ajoutant leur voix à celle, rauque, du moteur. L’ancienne Legacy GT se prenait pour une Dash-8 en pleine accélération de décollage, et offrait le genre de concert mécanique pour lequel on baissait toujours la radio.
Bref, c’était une machine un peu petite et un peu rustre à certains égards, mais ô combien charmante, engageante et gratifiante.
Plus douce, plus grosse, plus silencieuse… mais meilleure?
Malheureusement, d’une certaine façon, on dirait que cette remplaçante est devenue la victime de sa carrosserie agrandie, son insonorisation supérieure et sa suspension moins ferme.
La tenue de route excelle encore, surtout vu la grosseur de cette Legacy… mais on ressent plus de roulis, on a moins de rétroaction, et c’est une masse plus imposante qui résiste aux changements de direction. La Legacy GT avalera toujours les virages, mais l’enthousiasme du conducteur passionné sera un peu plus forcé.
Enfoncez la pédale, et le compartiment moteur laisse échapper à peine plus qu’un bourdonnement sourd. Le charmant gémissement de la boîte se fait toujours entendre… à condition de monter les vitres, d’éteindre la radio et de tendre l’oreille. Aucun effet sonore facilement discernable de la part du turbocompresseur non plus. Tout est plus silencieux et raffiné… mais moins électrisant.
 |
| La suspension axée davantage sur le confort tend à donner l'impression d'un véhicule moins sportif et moins rapide. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |
La variante précédente de la Legacy 2.5GT était une voiture branchée, performante et semi-exclusive qui initiait les conducteurs au monde de la conduite sportive. Du mordant à souhait, une direction serrée, une dynamique de conduite compacte et une personnalité enthousiaste et stable en faisaient une voiture idéale pour tout genre d’ébats auxquels on voulait s’adonner, été comme hiver.
Même en version Spec B peaufinée en usine et dotée d’une suspension efficace, votre journaliste trouvait que la dernière génération de la Legacy GT offrait un bel équilibre entre le confort et la prouesse. Et les routes nord-ontariennes près de chez moi sont aussi bien entretenues qu’une plateforme pétrolière gérée par BP!
Belle sonorité, aussi. À pleins gaz, le conducteur avait droit à une symphonie de gémissements variés, la boîte de vitesses et le turbocompresseur ajoutant leur voix à celle, rauque, du moteur. L’ancienne Legacy GT se prenait pour une Dash-8 en pleine accélération de décollage, et offrait le genre de concert mécanique pour lequel on baissait toujours la radio.
Bref, c’était une machine un peu petite et un peu rustre à certains égards, mais ô combien charmante, engageante et gratifiante.
Plus douce, plus grosse, plus silencieuse… mais meilleure?
Malheureusement, d’une certaine façon, on dirait que cette remplaçante est devenue la victime de sa carrosserie agrandie, son insonorisation supérieure et sa suspension moins ferme.
La tenue de route excelle encore, surtout vu la grosseur de cette Legacy… mais on ressent plus de roulis, on a moins de rétroaction, et c’est une masse plus imposante qui résiste aux changements de direction. La Legacy GT avalera toujours les virages, mais l’enthousiasme du conducteur passionné sera un peu plus forcé.
Enfoncez la pédale, et le compartiment moteur laisse échapper à peine plus qu’un bourdonnement sourd. Le charmant gémissement de la boîte se fait toujours entendre… à condition de monter les vitres, d’éteindre la radio et de tendre l’oreille. Aucun effet sonore facilement discernable de la part du turbocompresseur non plus. Tout est plus silencieux et raffiné… mais moins électrisant.
 |
| La cavalerie est plus impressionnante cette année aussi, comptant 265 chevaux au lieu de 243. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |