À bien y penser, le Venza parle effectivement, si bien sûr vous optez pour le système de navigation à commande vocale.
La planche de bord centrale abrite des commandes de climatisation simples à utiliser et un socle pour un lecteur de musique portatif, situé tout juste sous les commandes des sièges chauffants. La console centrale coulisse sous l’accoudoir pour révéler un compartiment de rangement relativement volumineux, et c’est à cet endroit qu’on retrouve le port USB de la chaîne audio : si votre clé USB mesure plus de deux pouces de long, cependant, comme celui qui contient mes fichiers MP3, la console ne pourra se refermer complètement.
Les sièges obtiennent également une bonne note. La sellerie de cuir, beige avec des accents noirs dans notre véhicule d’essai, offre une apparence haut de gamme, et ont prouvé leur confort au cours de la semaine. Et comme j’ai mentionné plus tôt, leur hauteur de coussin est parfaite : on ne se penche pas et on ne grimpe pas pour y prendre place.
Deux moteurs sont disponibles dans le Venza, et les deux ont leur raison d’être. Notre modèle à l’essai est équipé du très répandu V6 de 3,5 litres, qui produit 268 chevaux et un couple de 246 livres-pied : jumelé à une boîte automatique à 6 rapports avec mode manuel, le 0 à 100 km/h s’effectue en 7,2 secondes, ce qui semble plus que suffisant comme performance pour ce type de véhicule.
Le V6 peut également remorquer jusqu’à 1 588 kilos ou 3 500 livres. Mais pour la plupart des consommateurs, nous croyons que le moteur à 4 cylindres avec 182 chevaux fera le travail. Le plus petit engin procurera également une meilleure consommation d’essence que la moyenne de 12,8 L/100 km que nous offre cette semaine notre Venza à 6 cylindres.
Le seul gros point négatif à propos de ce véhicule multisegment, on ne ressent aucune excitation à le conduire. Il n’est pas plate à en provoquer des nausées, quand même, mais sa direction paraît un peu engourdie, le roulement n’est pas des plus doux ni sportif, et à plus de 4 000 livres, on sent un peu sa lourdeur derrière le volant. De plus, des pneus d’hiver pour ce véhicule vous coûteront assez cher. Mais tout ceci ne nous empêche pas de l’aimer dans son ensemble.
La planche de bord centrale abrite des commandes de climatisation simples à utiliser et un socle pour un lecteur de musique portatif, situé tout juste sous les commandes des sièges chauffants. La console centrale coulisse sous l’accoudoir pour révéler un compartiment de rangement relativement volumineux, et c’est à cet endroit qu’on retrouve le port USB de la chaîne audio : si votre clé USB mesure plus de deux pouces de long, cependant, comme celui qui contient mes fichiers MP3, la console ne pourra se refermer complètement.
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| La sellerie de cuir beige avec accents noirs a une apparence haut de gamme. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Les sièges obtiennent également une bonne note. La sellerie de cuir, beige avec des accents noirs dans notre véhicule d’essai, offre une apparence haut de gamme, et ont prouvé leur confort au cours de la semaine. Et comme j’ai mentionné plus tôt, leur hauteur de coussin est parfaite : on ne se penche pas et on ne grimpe pas pour y prendre place.
Deux moteurs sont disponibles dans le Venza, et les deux ont leur raison d’être. Notre modèle à l’essai est équipé du très répandu V6 de 3,5 litres, qui produit 268 chevaux et un couple de 246 livres-pied : jumelé à une boîte automatique à 6 rapports avec mode manuel, le 0 à 100 km/h s’effectue en 7,2 secondes, ce qui semble plus que suffisant comme performance pour ce type de véhicule.
Le V6 peut également remorquer jusqu’à 1 588 kilos ou 3 500 livres. Mais pour la plupart des consommateurs, nous croyons que le moteur à 4 cylindres avec 182 chevaux fera le travail. Le plus petit engin procurera également une meilleure consommation d’essence que la moyenne de 12,8 L/100 km que nous offre cette semaine notre Venza à 6 cylindres.
Le seul gros point négatif à propos de ce véhicule multisegment, on ne ressent aucune excitation à le conduire. Il n’est pas plate à en provoquer des nausées, quand même, mais sa direction paraît un peu engourdie, le roulement n’est pas des plus doux ni sportif, et à plus de 4 000 livres, on sent un peu sa lourdeur derrière le volant. De plus, des pneus d’hiver pour ce véhicule vous coûteront assez cher. Mais tout ceci ne nous empêche pas de l’aimer dans son ensemble.
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| Avec les 268 chevaux du V6 de 3,5 litres, le Venza atteint les 100 km/h en 7,2 secondes. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |