Ce qui n’a jamais été perdu dans la GTI, c’est sa capacité de transporter les gens et leurs bagages dans un confort total, tout en dévorant le paysage allemand et en dévalant l’Autobahn à des vitesses vertigineuses.
Oui, cette GTI édition spéciale dispose du muscle pour accompagner son allure. Profitant de 235 PS (232 chevaux) grâce aux 13 psi de pression du turbo, le 4-cylindres 2.0 TSI de l’Edition 35 est bien vivant. Certains diront que 32 chevaux supplémentaires ne peuvent faire une différence tangible, mais c’est le cas. Avec trois passagers à bord ainsi que des bagages et de la bouffe, la GTI nous a propulsés à des vitesses illégales en un clin d’œil. Euh, attendez, des vitesses illégales en Allemagne, ça n’existe pas…
À travers la course de l’accélérateur, la 35 accélère plus rapidement et plus longtemps. On le sent. Le sprint de 0 à 100 km/h, estimé à 6,6 secondes, semble conservateur et voici pourquoi : le couple supplémentaire de la voiture, 15 livres-pied pour un total de 222, sont tous au poste de 2 200 à 5 500 tr/min. Peu importe le rapport engagé, la GTI se démène avec férocité. Même en sixième vitesse, le 2,0-litres vous fera passer de 120 à 180 km/h en peu de temps. Très impressionnant.
La fabuleuse boîte de vitesses DSG optionnelle fait également bonne impression. Elle effectue ses changements de rapports les yeux fermés et une main attachée dans le dos. De plus, la rapidité d’exécution des deux embrayages fait paraître l’éclair d’une lenteur certaine, et les échanges de rapports sont quasi-imperceptibles. Et n’oublions pas l’omniprésent « brruup » accompagnant chaque changement de rapport. Délicieux. La manuelle à 6 rapports est exemplaire : une course du levier fluide et une pédale d’embrayage précise.
L’Allemagne et les Autobahns. L’Allemagne et les Autobahns… juste pour elles, je déménagerais ici. Point final. Mais je ne peux pas car mon allemand fait pitié à entendre. Mais à Rome, je dois foncer : la GTI se cramponne intelligemment à partir de 140 km/h. Cela, je le savais, par contre à partir de cette vélocité, je n’en avais jamais témoigné ailleurs que sur une piste. Rouler à 180 ne la dérange pas du tout : elle demeure stable et avec la suspension réglable (que nous n’avons pas droit chez nous) en mode Normal (il y a aussi Confort et Sport), le roulement est doux et la confiance dans la voiture demeure élevée. À 235 km/h, la GTI se rapproche de sa vitesse de pointe de 247, sans broncher.
Une vitesse élevée, pratique courante en Allemagne, et ce qui roule vite doit éventuellement s’arrêter aussi. Les freins à disque aux quatre coins de la GTI sont puissants, avec une bonne sensation à la pédale, et n’ont jamais montré de signes de faiblesse, malgré les freinages à des vitesses permissibles sur l’Autobahn.
Oui, cette GTI édition spéciale dispose du muscle pour accompagner son allure. Profitant de 235 PS (232 chevaux) grâce aux 13 psi de pression du turbo, le 4-cylindres 2.0 TSI de l’Edition 35 est bien vivant. Certains diront que 32 chevaux supplémentaires ne peuvent faire une différence tangible, mais c’est le cas. Avec trois passagers à bord ainsi que des bagages et de la bouffe, la GTI nous a propulsés à des vitesses illégales en un clin d’œil. Euh, attendez, des vitesses illégales en Allemagne, ça n’existe pas…
 |
| Volkswagen Golf GTI Edition 35 2011 (Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com) |
À travers la course de l’accélérateur, la 35 accélère plus rapidement et plus longtemps. On le sent. Le sprint de 0 à 100 km/h, estimé à 6,6 secondes, semble conservateur et voici pourquoi : le couple supplémentaire de la voiture, 15 livres-pied pour un total de 222, sont tous au poste de 2 200 à 5 500 tr/min. Peu importe le rapport engagé, la GTI se démène avec férocité. Même en sixième vitesse, le 2,0-litres vous fera passer de 120 à 180 km/h en peu de temps. Très impressionnant.
La fabuleuse boîte de vitesses DSG optionnelle fait également bonne impression. Elle effectue ses changements de rapports les yeux fermés et une main attachée dans le dos. De plus, la rapidité d’exécution des deux embrayages fait paraître l’éclair d’une lenteur certaine, et les échanges de rapports sont quasi-imperceptibles. Et n’oublions pas l’omniprésent « brruup » accompagnant chaque changement de rapport. Délicieux. La manuelle à 6 rapports est exemplaire : une course du levier fluide et une pédale d’embrayage précise.
L’Allemagne et les Autobahns. L’Allemagne et les Autobahns… juste pour elles, je déménagerais ici. Point final. Mais je ne peux pas car mon allemand fait pitié à entendre. Mais à Rome, je dois foncer : la GTI se cramponne intelligemment à partir de 140 km/h. Cela, je le savais, par contre à partir de cette vélocité, je n’en avais jamais témoigné ailleurs que sur une piste. Rouler à 180 ne la dérange pas du tout : elle demeure stable et avec la suspension réglable (que nous n’avons pas droit chez nous) en mode Normal (il y a aussi Confort et Sport), le roulement est doux et la confiance dans la voiture demeure élevée. À 235 km/h, la GTI se rapproche de sa vitesse de pointe de 247, sans broncher.
Une vitesse élevée, pratique courante en Allemagne, et ce qui roule vite doit éventuellement s’arrêter aussi. Les freins à disque aux quatre coins de la GTI sont puissants, avec une bonne sensation à la pédale, et n’ont jamais montré de signes de faiblesse, malgré les freinages à des vitesses permissibles sur l’Autobahn.
 |
| Volkswagen Golf GTI Edition 35 2011 (Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com) |